Table des matières

• Avertissement
• Première partie. Descriptions
  • I. Le beau
    • A. Un plaisir désintéressé
      • 1. Le jugement esthétique n’est pas une connaissance
      • 2. Sensation et sentiment
      • 3. Confusions concernant l’agréable
      • 4. L’agréable et le bon
      • 5. Le beau donne le plaisir d’une libre contemplation
      • 6. Le beau n’est pas l’utile
      • 7. Le beau, indépendant de tout attrait
    • B. Un universel sans concept
      • 8. Des goûts et des couleurs...
      • 9. La fausse universalité de l’agréable
      • 10. On ne peut argumenter sur le gout
      • 11. Il n’y a pas de règle pour juger du beau
      • 12. Cette chose étonnante...
      • 13. Les modèles et i/imitation
    • C. Une finalité sans fin
    • 14. Le plaisir est lié à une finalité subjective
      • 15. Le jugement du gout n’a d’autre fondement que la forme de la finalité d’un objet
      • 16. Une couleur ou un son isolés peuvent-ils être beaux ?
      • 17. Le jugement de gout est tout à fait indépendant du concept de perfection
      • 18. Beauté libre et beauté adhérente
      • 19. La régularité et la fantaisie
      • 20. De l’idéal de la beauté
      • 21. Le naturel en art
      • 22. Le génie est indispensable aux beaux-arts
      • 23. L’originalité en art et l’invention scientifique
  • II. Le sublime
    • 24. Caractères communs au beau et au sublime
    • 25. Exemples de beau et de sublime
    • 26. Variétés du sublime
    • 27. Comparaison entre le beau et le sublime
    • 28. Le sublime n’est pas dans la nature mais dans l’esprit
    • 29. Définition du sublime
    • 30. Deux exemples
    • 31. Le sublime, distingué du monstrueux et du colossal
    • 32. Le sublime mathématique n’est pas connu par une mesure
    • 33. La nature comme puissance et le sublime dynamique
    • 34. A quelle condition le sentiment religieux est-il sublime ?
    • 35. Le sentiment du sublime suppose une culture de la moralité
    • 36. Sublime et moralité
    • 37. Le vrai et le faux sublime. L’enthousiasme
    • 38. Austérité du véritable sublime
• Deuxième partie. Problèmes et solutions
  • A. L’universalité subjective
    • 39. L’universalité du jugement de goût
    • 40. La nécessité du jugement de gout
    • 41. Qu’affirme-t-on « a priori » dans un jugement de gout ?
    • 42. Le beau semble être une propriété de l’objet
  • B. La déduction des jugements de gout
    • 43. Nécessité d’une déduction des jugements de gout
    • 44. La notion de sens commun
    • 45. Le véritable sens commun
    • 46. Quatre sortes de satisfactions
    • 47. La déduction du sublime est immédiate
    • 48. Le problème de la déduction
  • C. Le libre jeu des facultés
    • 50. Rapports du plaisir et du jugement
    • 51. Le libre jeu des facultés
    • 52. L’imagination dans sa liberté...
    • 53. Le génie
  • D. L’antinomie
    • 54. Qu’est-ce qu’une antinomie ?
    • 55. L’antinomie du gout
    • 56. Résolution de l’antinomie
  • E. Du sensible au supra-sensible
    • 57. De l’infini au supra-sensible
    • 58. Le sentiment du sublime est le respect pour notre propre destination
    • 59. Le bien supports d’être lié au beau
    • 60. L’intérêt empirique du beau
    • 61. Parenté du sentiment moral et du sentiment esthétique
    • 62. Deux sortes d’idées
    • 63. Les idées esthétiques
    • 64. Qu’est-ce qu’un symbole ?
    • 65. Lb beau, symbole du bien
• Appendices
  • I. Vocabulaire
  • II. Plan de la critique du jugement