Oeuvres complètes - Tome 3 Roberto Bolaño
Résumé
"Un écrivain doit être l'ami de ses démons ou de ses anges [...], il doit être ami de l'aventure, des bibliothèques et de ceux qui ne peuvent pas parler, des humiliés, des morts, des innocents, des enfants."
- Auteur :
- Bolaño, Roberto
- Éditeur :
- Paris, L'Olivier, 2020
- Genre :
- Roman
- Langue :
- français.
- Description du livre original :
- 1 vol. (990 p.)
- ISBN :
- 9782823613056.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- LA PISTE DE GLACE
- Remo Morán : La première fois que je l’ai vu c’était rue Bucareli
- Gaspar Heredia : C’est au milieu du printemps que je suis arrivé
- Enric Rosquelles : Jusqu’à ces dernières années mon caractère était proverbialement paisible
- Remo Morán : Je reconnais qu’en mai j’ai donné du travail à Gaspar Heredia
- Gaspar Heredia : Stella Maris, c’était son nom
- Enric Rosquelles : Je sais que tout ce que je dirai ne fera que contribuer à m’enfoncer
- Remo Morán : Il est désormais inutile que je tente de résoudre ce qui n’a pas de solution
- Gaspar Heredia : Parfois, quand je jetais un coup d’œil à l’extérieur du camping
- Enric Rosquelles : On dit que Benvingut a émigré à la fin du siècle passé
- Remo Morán : J’ai connu Lola dans des circonstances extraordinaires
- Gaspar Heredia : La chanteuse d’opéra n’a jamais été logée
- Enric Rosquelles : J’ai trouvé un plombier, un éclairagiste, un menuisier
- Remo Morán : J’ai fait la connaissance de Nuria grâce à l’Association écologiste de Z
- Gaspar Heredia : J’ai commencé à prendre l’habitude de traîner en ville
- Enric Rosquelles : Je laissais la voiture garée sous la vieille treille
- Remo Morán : De la deuxième visite de Nuria à l’hôtel
- Gaspar Heredia : La musique qu’on entendait, c’était La Danse du feu
- Enric Rosquelles : On a commencé les entraînements au début de l’été
- Remo Morán : Un jour Rosquelles a vu la bicyclette de Nuria dans la rue
- Gaspar Heredia : Il était improbable que les patrons se montrent au camping
- Enric Rosquelles : Comment croyez-vous que je me sois senti quand j’ai su
- Remo Morán : J’ai décidé d’aller chercher Nuria chez elle
- Gaspar Heredia : Je suis un conscrit dans cette ville de l’enfer, a dit le Recluta
- Enric Rosquelles : J’ai toujours senti qu’on me lançait des regards chargés de ressentiment
- Remo Morán : Les jours qui ont précédé la découverte du cadavre
- Gaspar Heredia : J’ai observé de loin Carmen et le Recluta au bord de la mer
- Enric Rosquelles : Malheureusement, après le dîner, nous sommes allés dans une discothèque
- Remo Morán : La vieille est une collègue à toi
- Gaspar Heredia : Après que le gros et la patineuse sont partis
- Enric Rosquelles : Le lendemain de la fête dans la discothèque
- Remo Morán : À dix heures pile du matin, j’ai pris la voiture et je suis parti
- Gaspar Heredia : Jusqu’à ce que le Carajillo finisse par s’endormir, nous avons parlé de femmes
- Enric Rosquelles : L’après-midi, Pilar m’a téléphoné au bureau pour m’informer
- Remo Morán : Les policiers étaient jeunes et n’avaient pas l’air très malins
- Gaspar Heredia : Caridad s’était assez bien adaptée à la vie du camping
- Enric Rosquelles : Je jure que je ne l’ai pas tuée
- Remo Morán : Les journaux et les revues l’ont fait connaître
- Gaspar Heredia : La police est venue deux fois au camping
- Enric Rosquelles : À part ma mère et quelques tantes ou cousins
- Remo Morán : On ne peut pas pactiser avec Dieu et avec le diable en même temps
- Gaspar Heredia : Une nuit il y a eu du grabuge à la terrasse du bar
- Enric Rosquelles : Romans offerts
- Remo Morán : Ça me fout en l’air de voir les gens partir comme ça
- Gaspar Heredia : Une semaine nous séparait de notre départ
- Enric Rosquelles : J’ai été libéré une semaine après
- Remo Morán : C’est moi qui l’ai tuée, chef, m’a dit le Recluta
- Gaspar Heredia : Nous avons pris le train pour Barcelone un après-midi nuageux
- Enric Rosquelles : Quand finalement je suis revenu à Z, tout était si différent
- LE TROISIÈME REICH
- 20 août
- 21 août
- 22 août
- 23 août
- 24 août
- 25 août
- 26 août
- 27 août
- 28 août
- 29 août
- 30 août
- 31 août
- 1er septembre
- 2 septembre
- 3 septembre
- 4 septembre
- 5 septembre
- 6 septembre
- 7 septembre
- 8 septembre
- 9 septembre
- 10 septembre
- 11 septembre
- 12 septembre
- Printemps 1942
- 14 septembre
- Anzio. Fortress Europa. Omaha Beachhead. Été 1942
- Avec le Loup et l’Agneau
- Mes Généraux favoris
- Automne 1942. Hiver 1942
- 17 septembre
- 18 septembre
- 19 septembre
- 20 septembre
- 21 septembre
- 22 septembre
- 23 septembre
- 24 septembre
- 25 septembre. Bar Casanova. La Jonquera
- 30 septembre
- Ingeborg
- Hanna
- 20 octobre
- Von Seeckt
- Frau Else
- Le congrès
- Note sur la composition de l’ouvrage
- COLLABORATIONS DE PRESSE
- Le stridentisme*
- Manifeste stridentiste
- ET AFFIRMONS :
- CHIONS :
- PROCLAMONS :
- Vive le mole de dinde !
- Manifeste stridentiste
- La nouvelle poésie latino-américaine : crise ou renaissance ?*
- Antécédents de la nouvelle poésie
- Avancées et reculs
- Possible avant-garde et contexte sociopolitique
- Qui a le courage ?
- Conseils sur l’art d’écrire des nouvelles
- Dimas Luna, prince
- Conte de Noël à Blanes
- La meilleure bande
- Le fantôme d’Àngel Planells
- Une maison pour toujours
- Le rhapsode de Blanes
- Fragments d’un retour au pays natal
- L’invitation
- Le voyage
- Une pute est de retour
- Les visages
- Le bal commence
- À peine arrivé, je me sens chez moi
- CONVERSATIONS TÉLÉPHONIQUES AVEC PEDRO LEMEBEL
- Le gros journaliste
- LA LITTÉRATURE CHILIENNE
- Rodrigo Pinto
- Femmes de lettres
- Santiago
- Tous des écrivains
- Nicanor Parra et adieu au Chili
- Paroles de l’espace extérieur
- L’hiver des lectrices
- L’ancêtre
- Les pâtissiers
- Les inventeurs délirants
- Le courage
- Wilcock
- La libraire
- Tomeo
- Ernesto Cardenal
- Les livres de mémoires
- Le printemps à Blanes
- L’incroyable César Aira
- Le couloir sans issue apparente
- Un après-midi avec Huidobro et Parra
- Souvenirs de Juan Villoro
- Ferdydurke en catalan
- Sara et Steva
- Le stylet de Rodrigo Rey Rosa
- Berlin
- Lichtenberg face à la mort
- Civilisation
- Olvido García Valdés, poétesse
- Roberto Brodsky
- Puigdevall, le bizarre
- Histoires de juillet
- Javier Cercas est de retour chez lui
- Soleil et crâne de mort
- Le vaillant bibliothécaire
- Borges et les corbeaux
- Sinaloa Story
- A. G. Porta
- L’âme vendue au diable
- Ils sont bizarres, les amis
- Osvaldo Lamborghini : martyr
- Neruda
- Hannibal, de Thomas Harris
- La poésie chilienne et l’exposition aux intempéries
- Le mystère transparent de José Donoso
- Mosley
- Avions
- Le siècle de Grass
- Burroughs
- La Selva Marítima
- Pezoa Véliz
- Pinochet et Crusoé*
- Neuman, touché par la grâce
- Miguel Casado : poète
- Le dernier livre de Vila-Matas
- Ana María Navales
- Castellanos Moya*
- Les Hell’s Angels
- Sergio Pitol
- Vienne et l’ombre d’une femme
- Le roman comme puzzle
- Une nouvelle parfaite
- Alphonse Daudet
- Jonathan Swift
- À la recherche du Torico de Teruel
- Un narrateur dans l’intimité
- Un roman de Tourguéniev
- Horacio Castellanos Moya : la quête du style
- Borges et Paracelse
- Le dernier roman de Javier Cercas
- Braque : Le Jour et la Nuit
- Il Sodoma
- Auteurs qui s’éloignent
- Philip K. Dick
- Le livre qui survit
- Méridien de sang
- Troubadours
- Herralde
- Conjectures sur une phrase de Breton
- Tentative d’épuiser les mécènes
- Le dernier endroit sur la carte
- Les paroles et les gestes
- Une promenade dans l’abîme
- Sur la littérature, le Prix national de littérature et les rares consolations du métier
- Jim
- Le suicide de Gabriel Ferrater
- Rodrigo Rey Rosa au Mali, je crois
- Quelques paroles pour Enrique Lihn
- Tous les sujets avec Fresán
- Souvenirs de Los Angeles
- Sur le virus très répandu de l’écrivain ami du président*
- Autobiographies : Amis & Ellroy
- Cet étrange M. Alan Pauls
- Javier Aspurúa à ses propres funérailles
- Pour arriver vraiment à Madrid
- Le Bukowski de La Havane
- Sergio González Rodríguez sous l’ouragan
- 84, Charing Cross Road
- Jaume Vallcorba et les prix
- Le Titien fait le portrait d’un homme malade
- Pages écrites sur l’échelle de Jacob
- La traduction est une enclume
- L’humour sur le palier
- La littérature chilienne
- En vol avec Lauda Air*
- Le stridentisme*
- DISCOURS ET CONFÉRENCES
- Discours de Caracas
- Littérature et exil
- Dérives de la pesada
- Séville me tue
- LECTURES ET RELECTURES
- Ahora mismo hablaba contigo, Vallejo, par Carlos Henderson*
- Islas a la deriva, par José Emilio Pacheco*
- Juicio final/Andante, par Beltrán Morales*
- Quittez tout, de nouveau : premier manifeste du mouvement infraréaliste*
- Sur Xavier Sabater*
- « Le métier, cet étrange réconfort… »*
- Une relecture*
- Notes sur la poésie d’Orlando Guillén*
- Dans la salle de lecture de l’Enfer*
- De l’inutilité*
- Exils
- Lectures avant de rentrer au Chili*
- 1. Une vision
- 2. Les nouvelles
- 3. Le lecteur demande pardon
- Notes autour de Jaime Bayly
- [Le prix Romulo-Gallegos]
- Autoportrait
- À propos des Détectives sauvages
- Notre guide dans le défilé
- Une modeste proposition
- Les Chiots, une fois de plus
- Pimentel dans le souvenir*
- Bomarzo
- Huit secondes avec Nicanor Parra
- Le début de l’Apocalypse
- Sur Bruno Montané
- Le man revient au Venezuela*
- Ceux qui sont perdus
- Intempéries
- Sources
- Collaborations de presse
- Discours et conférences
- Lectures et relectures
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