Votre recherche “Auteur: Sylvain Ledda” 5 résultats
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Éditeur :
PUF, 2012
Pourquoi réunir dans le même programme d'agrégation trois pièces de facture et de propos apparemment si différents ? C'est que le théâtre de Musset, vivant parce que joué, s'ingénie à manier les effets de rupture.
Entre la grande comédie tragique de 1834 et l'aérien proverbe de 1845, les similitudes semblent ténues à la première lecture. Et cependant, entre ces pièces, un dimanche à la campagne e...(Lire la suite)
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Éditeur :
Flammarion, impr. 2013
Les aventures de d’Artagnan et de ses trois célèbres acolytes, Athos, Porthos et Aramis, ce sont avant tout la vaillance et le panache, un débordement d’énergie et d’audace, de la romance et de la comédie qui virent parfois à la tragédie quand, au détour d’une page, se profile la silhouette de l’inquiétante Milady... Des générations de lecteurs ont été subjuguées par Les Trois Mousquetaires où Du...(Lire la suite)
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Éditeur :
Flammarion, DL 2017
Crime, débauche, inceste : Lucrèce Borgia, fille et soeur de papes, est accusée des maux les plus infâmes. Un seul homme, pourtant, la fait trembler : son fils, Gennaro, jeune soldat au coeur pur qui se croit orphelin. Par amour pour lui, cette femme vénéneuse veut racheter son passé et laver son nom, honni de l'Italie toute entière. Par-delà le monstre, Hugo dresse le portrait d'une femme qui s'...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2011
Sur un théâtre ancien, faisons des pièces ludiques. Tel pourrait être le mot d’ordre d’Alfred de Musset quand il s’adonne au proverbe, genre dont "Il ne faut jurer de rien" et "On ne saurait penser à tout" sont d’incontestables réussites. Impertinentes et drôles, ces pièces bousculent les formes théâtrales empesées et le sérieux des convenances. L’esprit fuse, les surprises succèdent aux quiproqu...(Lire la suite)
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Éditeur :
Flammarion, DL 2010
Tout commence par une trahison amoureuse. Octave, trompé par sa maîtresse, se jette à coeur perdu dans les bras de la débauche. Mais quand à nouveau survient le véritable amour, la passion a le goût amer de la jalousie : pour Octave, marqué au fer rouge de la désillusion, aimer, c'est souffrir, et surtout faire souffrir... " Autel " de douleur dressé par Musset à George Sand au lendemain de leur ...(Lire la suite)