Votre recherche “Auteur: Martine Le Coz” 4 résultats
Ajouter à une liste
Éditeur :
Rocher (Ed. du), 2004
"Les tableaux vivent et meurent aussi. Ils noircissent lentement dans les musées. Des Turner noircissent - des marines glauques sous des soleils fanés. Des Géricault noircissent : "Le Radeau de la Méduse", gâché par le bitume. Dans son livre "Un rêve de pierre", Michel Schneider rappelle qu'on peignait alors avec des résidus organiques, de l'oeuf, de l'os, des rognures de peau de poisson... et se...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Rocher (Ed. du), 2001
Prix Renaudot 2001. "Paris, 1832. Le choléra tient la ville, se faufile dans les faubourgs et traque les beaux quartiers. Partout l'on meurt, jusque dans les ministères. On murmure que c'est là un châtiment divin. Fils d'un planteur et d'une esclave haïtienne, le docteur Lodran soigne son prochain. Les poitrines sont encore gonflées des clameurs révolutionnaires : l'esprit de la Liberté souffle, ...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Albin Michel, impr. 2007
Roman. «Elle est là, son pays autour d'elle, des siècles et des siècles sur les épaules. Son beau pays. La nature crue, le ventre chaud de la terre. La terre rouge, et la peur partout. La guerre remonte à hier. Les machettes sont à peine sèches.» Elle, c'est Baramparaye, reine du Burundi : en retraçant son destin exceptionnel, Martine Le Coz nous plonge dans la mémoire d'une Afrique torturée, att...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Éd. du Rocher, 2001
Au printemps 1832 alors que Paris est en proie à une épidémie de choléra, Céleste, l’une des nièces du peintre Paul Huet, rencontre chez son oncle un médecin : Lodran. C’est le coup de foudre. Pourtant ni l’un ni l’autre ne peuvent s‘avouer leurs sentiments, par pudeur mais surtout parce que tout les sépare. Fils d'esclave haïtien, Lodran a la peau noire. Dans sa vie quotidienne à l'Hôtel Dieu, l...(Lire la suite)