Le programme, Cible n° 1 Allen Zadoff traduit de l'anglais (américain) par Hélène Borraz

Résumé

Benjamin est toujours le nouveau du lycée, celui qu'on ne remarque pas. Il se fond dans le décor, se fait de nouveaux amis, il observe. Mais cela ne dure jamais... Juste le temps d'atteindre sa cible et d'accomplir sa mission, selon les ordres qui lui sont donnés par téléphone par une mystérieuse Agence. Le jour où il doit éliminer le maire de New York, tout change car, imperceptiblement, Benjamin modifie les règles du jeu, en sentant ses émotions affleurer. Il se rapproche dangereusement de Sam, la fille du maire, sans savoir qu'elle aussi est en mission, sans savoir que son humanité naissante est sa pire ennemie. A partir de 13 ans.

Auteur :
Zadoff, Allen
Traducteur :
Borraz, Hélène
Éditeur :
Paris, A. Michel,
Collection :
Wiz
Genre :
Roman (jeunesse)
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (373 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm
ISBN :
9782226252487.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • JE SAISIS UNE BATTE DE BASEBALL.
  • LE CUIR DANS LA MERCEDES EST DOUX.
  • LE GORILLE ENTRE LE CODE SUR LE PAVÉ NUMÉRIQUE DU PORTAIL DE SÉCURITÉ.
  • JE M’ÉLOIGNE DANS LES LUMIÈRES TOURBILLONNANTES DE L’AMBULANCE.
  • IL S’APPELAIT MIKE.
  • CELA M’ARRIVE PARFOIS QUAND J’AI TERMINÉ UNE MISSION.
  • JE FONCE SUR L’AUTOROUTE.
  • C’ÉTAIT UN SAMEDI APRÈS-MIDI, AU DÉBUT DU MOIS DE NOVEMBRE.
  • J’APPUIE SUR L’ACCÉLÉRATEUR ET JE SENS LE MOTEUR RÉAGIR.
    • MIKE M’A INSTALLÉ DANS LE TAXI.
    • J’ENTENDS LA RESPIRATION DE MÈRE À L’AUTRE BOUT DU FIL.
      • L’ATTENTE.
      • JE QUITTE MES VÊTEMENTS.
      • LES DEUX PREMIÈRES ANNÉES DU PROGRAMME SONT CONSACRÉES À LA PRÉPARATION.
      • JE PASSE LE DOIGT SUR MA CICATRICE.
      • TROIS JOURS SE SONT ÉCOULÉS.
        • JE COMMANDE UN GRAND CAFÉ AU STARBUCKS DU COIN.
          • MAINTENANT JE SAIS OÙ JE L’AI DÉJÀ VUE.
          • MERCREDI. JOUR UN.
          • POUR EUX, C’EST JUSTE UN JOUR COMME LES AUTRES.
          • LA GRANDE TIGNASSE M’ATTEND DANS LE COULOIR.
          • JE PROFITE DE L’HEURE DU DÉJEUNER POUR ME RENDRE À L’APPLE STORE.
            • JE SORS DU MAGASIN ET IMMÉDIATEMENT JE SENS QUELQUE CHOSE.
            • J’AI MON NOUVEAU TÉLÉPHONE EN POCHE.
            • UN CRI RETENTIT DANS LE COULOIR PRINCIPAL DE L’ÉCOLE.
            • « TU ES DU GENRE À APPLIQUER LA RÈGLE DES TROIS FAUTES ? » DEMANDÉ-JE À SAM.
            • UNE AUTRE FILLE.
            • C’ÉTAIT IL Y A LONGTEMPS.
            • MON PROBLÈME, C’EST QUE JE SUIS NOUVEAU DANS CETTE ÉCOLE.
            • MON APPARTEMENT SE TROUVE À MANHATTAN.
            • C’EST PAR UNE MAGNIFIQUE JOURNÉE D’AUTOMNE QU’ILS M’AUTORISÈRENT POUR LA PREMIÈRE FOIS À SORTIR DE LA MAISON.
            • UNE AUTRE MISE À L’ÉPREUVE.
            • EN ME VOYANT, ERICA M’ADRESSE UN PETIT SOURIRE SATISFAIT.
            • JE LAISSE ERICA ME CONDUIRE À L’APPARTEMENT DE SAM.
            • LE MAIRE EST ICI.
            • ERICA AGRIPPE MON BRAS ET ME TRAÎNE SANS MÉNAGEMENT DANS LE COULOIR.
            • DE LA MUSIQUE RÉSONNE DANS LE COULOIR.
            • LE PRO SE TIENT JUSTE DERRIÈRE LA PORTE DU BUREAU.
            • DANS LE HALL D’ENTRÉE, ON ME DEMANDE DE SIGNER POUR CONFIRMER MA SORTIE.
              • J’ENTRE DANS UN PETIT SALON SOMBRE EN COURS DE DÉMOLITION.
              • JE RÊVE DE MAISONS.
                • JE ME SUIS INSTALLÉ DEVANT UN ORDINATEUR DU CDI DE L’ÉCOLE.
                  • « TU PENSAIS POUVOIR M’ÉCHAPPER ? »
                  • UN POLICIER SE TIENT DANS LA GUÉRITE EN BAS DE L’IMMEUBLE DU MAIRE.
                  • SUR LA COMMODE SE TROUVENT PLUSIEURS PHOTOGRAPHIES ENCADRÉES DE SA MÈRE.
                  • LE BRAS DE SON PÈRE EST À MOINS DE CINQUANTE CENTIMÈTRES DE MOI.
                  • J’ENTRE DANS LA SALLE DE BAINS AU FOND DU COULOIR.
                  • JE LEUR RACONTE UN MENSONGE.
                  • « LÂCHEZ-MOI », HURLE UNE FEMME.
                  • JE DESCENDS.
                  • « VOUS ALLEZ ME TUER », GÉMIT HOWARD.
                  • IL N’Y A PERSONNE DANS LES TOILETTES.
                  • JE COURS VITE.
                  • LES ARBRES, DE CHAQUE CÔTÉ, DÉFILENT DANS UN FLOU CONTINU DE VERT.
                  • SAM S’ESSUIE LES CHEVEUX DANS MON SALON.
                  • L’ORAGE S’ÉLOIGNE.
                    • IL N’EST PAS DANS LES HABITUDES DE MÈRE D’APPELER PENDANT UNE MISSION.
                    • JE TENTE DE JOINDRE SAM.
                    • « J’AI BESOIN DE TON AIDE. »
                    • JE NE DORS PAS.
                    • DES ENFANTS CRIENT.
                    • JE L’AI EUE POUR LA PREMIÈRE FOIS QUAND J’AVAIS DOUZE ANS.
                    • LA PEUR.
                    • UNE LUMIÈRE M’ÉBLOUIT.
                    • QUAND JE SORS DANS LA RUE, IL FAIT NUIT.
                    • « J’AI ESSAYÉ DE TE JOINDRE UN MILLIARD DE FOIS ! » S’EXCLAME HOWARD.
                    • JE PRENDS UN MÉTRO EXPRESS DIRECTION LA 86E RUE.
                    • NOUS TRAVERSONS LE HALL D’ENTRÉE REMPLI DE DIGNITAIRES.
                    • LE MAIRE ENTRE DANS UN PETIT SALON DE RÉCEPTION.
                    • UNE ODEUR D’EXPLOSIF EMPLIT LE COULOIR.
                    • DES SACS DE COUCHAGE ABANDONNÉS JONCHENT LE SOL D’UNE BUANDERIE.
                    • UN BRUIT À PEINE PERCEPTIBLE.
                    • JE ME DÉPÊCHE DE SORTIR DE LÀ POUR RATTRAPER SAM.
                    • ELLE SE TIENT DANS L’OMBRE DERRIÈRE L’OBÉLISQUE.
                    • LE LENDEMAIN, LA NOUVELLE SE RÉPAND DANS LA VILLE COMME UNE TRAÎNÉE DE POUDRE.
                    • « JE SAVAIS QUE TU VIENDRAIS », DIT HOWARD.
                    • LES COURS ONT ÉTÉ ANNULÉS, MAIS L’ÉCOLE EST OUVERTE.
                    • REMERCIEMENTS
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