Table des matières

• PROLOGUE
• OÙ JE M'AVISE − MAIS UN PEU TARD − DE L'IRRÉVERSIBILITÉ DU TRÉPAS
• OÙ JE SOUPÇONNE LA MÉCHANCETÉ DE N'ÊTRE PAS MORTE AVEC MOI
• OÙ MES PARENTS DEMEURENT POUR L'ÉTERNITÉ JEUNES ET BEAUX
• OÙ JE N'EXCLUS PAS QU'AVOIR ÉTÉ GAVÉ COMME UNE OIE AIT ENTRAÎNÉ MA SURCHARGE PONDÉRALE
• OÙ JE PLAINS LES PAUVRES RATS, VICTIMES COLLATÉRALES DE MES RÉGIMES AMAIGRISSANTS
• OÙ IL EST QUESTION D'UNE FAMILLE DONT LES MESSIEURS PORTAIENT LA BARBE ET LES DAMES LA MOUSTACHE
• OÙ JE NE ME DÉFENDS PAS D'AVOIR ÉTÉ UN SACRIPANT
• OÙ JE SENS SOUS CE QUI RESTE DE MA LANGUE COMME UN GOÛT DE REVENEZ-Y
• OÙ JE M'ÉTONNE QUE LA JOURNÉE D'UN GISANT S'ARRÊTE À SIX HEURES DE RELEVÉE
• OÙ JE PROFITE DU GRAND REFROIDISSEMENT POUR RAFRAÎCHIR MA MÉMOIRE
• OÙ JE MÉLANGE LES CHIENS, LES VACHES ET LES AUTOMOBILES
• OÙ JE DÉCOUVRE QU'À LA PLACE DU MORT JE NE RISQUE PLUS RIEN
• OÙ TRANSPARAÎT LA NOSTALGIE DE L'ÉPOQUE DONT TOUS LES FIGURANTS ÉTAIENT DES VEDETTES
• OÙ IL EST QUESTION PÊLE-MÊLE DES DOUANIERS, DES GRETCHEN ET DES PETITS CHEFS
• OÙ JE COMPRENDS QUE MA CAISSE NE SERA JAMAIS LIVRÉE À PERSONNE
• OÙ JE FAIS LE PROCÈS DES MOTS COMPOSANT LES PHRASES TERMINALES
• OÙ SOUS LE PETIT LAPIN PERCE DÉJÀ LE GROS COCHON
• OÙ JE DÉPLORE D'AVOIR PERDU LA VIE ET CONSERVÉ MES OBSESSIONS
• OÙ J'AI TOUT LE TEMPS DE RÉFLÉCHIR AU CALME ET AU FRAIS
• OÙ JE SUGGÈRE DE TRANSFORMER LES CIMETIÈRES DE NOTABLES EN PARCS D'ATTRACTIONS
• OÙ JE CONSTATE QUE PLUS ON EST MORT MOINS ON VIT
• OÙ JE REVIENS SUR CE QUE, PRIVÉ D'ESTOMAC, JE N'AI TOUJOURS PAS DIGÉRÉ
• OÙ LA TOUSSAINT ME REDONNE UN PEU LE MORAL
• OÙ JE RÊVE DE CENTENAIRE ET DE PANTHÉON
• ÉPILOGUE