Votre recherche “Sujet: Birkenau Pologne” 5 résultats
Ajouter à une liste
Éditeur :
Éd. du Retour, DL 2009
Bien sûr il faut écrire, il faut parler tout en sachant que nos pauvres mots ne suffiront jamais à rendre compte de ce que furent les souffrances endurées : la faim de celui qui jour après jour maigrit, perd ses forces, accablé par le désespoir, l'abandon, la saleté, les poux, la boue, le froid ou la chaleur, les coups, les humiliations, la promiscuité, le manque de sommeil, de repos, les appels ...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Bernard Grasset, DL 2015
«J'ai vécu puisque tu voulais que je vive. Mais vécu comme je l'ai appris là-bas, en prenant les jours les uns après les autres. Il y en eut de beaux tout de même. T'écrire m'a fait du bien. En te parlant, je ne me console pas. Je détends juste ce qui m'enserre le cœur. Je voudrais fuir l'histoire du monde, du siècle, revenir à la mienne, celle de Shloïme et sa chère petite fille.»
Ajouter à une liste
Éditeur :
R. Laffont, impr. 2008
Le matin de ses soixante-dix-huit ans, Marceline Loridan-Ivens, née Rozenberg, calcule que 7 et 8 font 15 : quinze ans, son âge lors de sa déportation au camp d'Auschwitz-Birkenau.
Elle contemple les objets de sa maison, qui réveillent en elle des fragments de sa vie faite de désordres, de révoltes, de provocations et d'engagements sur les marges du monde. 1945 : revenue d'Auschwitz détruite à mo...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
A. Michel, impr. 2012
Ce livre est une méditation, non sur la mort, mais sur la vie. Ce n'est pas un témoignage sur l'expérience de la Shoah comme expérience de la mort, mais un appel à la vie. Un matin, à Auschwitz, une femme mourante demande à Magda Hollander-Lafon d'approcher et lui dit de prendre dans sa main les quatre petits bouts de pain qu'elle a gardés mais qu'elle ne peut plus manger : " tu es jeune, tu dois...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
A. Michel, impr. 2012
Ce livre est une méditation, non sur la mort, mais sur la vie. Ce n'est pas un témoignage sur l'expérience de la Shoah comme expérience de la mort, mais un appel à la vie. Un matin, à Auschwitz, une femme mourante demande à Magda Hollander-Lafon d'approcher et lui dit de prendre dans sa main les quatre petits bouts de pain qu'elle a gardés mais qu'elle ne peut plus manger : " tu es jeune, tu dois...(Lire la suite)