Votre recherche “Auteur: Stéphane Beaud” 5 résultats
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Éditeur :
la Dispute, impr. 2006
Novembre 2005, dans les cités populaires, une jeunesse se révolte. Colère passagère ou expression d'un profond malaise qui révèle les tares de la société dans son ensemble ? Après le dénigrement, la répression et les polémiques médiatiques, des chercheurs et des acteurs de la vie locale et associative cherchent à comprendre le sens de ce mouvement. La création de "classes dangereuses", la crimina...(Lire la suite)
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Éditeur :
la Découverte, impr. 2006
En France, la proportion de précaires est plus élevée dans le public que dans le privé, de plus en plus de personnes ne demandent pas les prestations sociales auxquelles elles ont droit, la plupart des SDF ont une adresse, la moitié des adolescents qui se suicident sont homosexuels, les licenciés qui retrouvent un emploi connaissent presque systématiquement une perte de revenu, les femmes au foye...(Lire la suite)
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Éditeur :
la Découverte, 2004
"Cher monsieur, je me permets de vous écrire pour vous remercier. J'ai terminé votre enquête 80 % au bac. C'est un livre qui m'a à la fois ému (j'ai souvent eu les larmes aux yeux) et mis en colère (contre moi-même). C'est incroyable à quel point les vies que vous avez décrites ressemblent à la mienne... "" C'est ainsi que débute la correspondance électronique entre le sociologue Stéphane Beaud a...(Lire la suite)
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Éditeur :
Hachette littératures, 2005
Les émeutes urbaines rythment notre actualité depuis le début des années 1980. Mais manifestent-elles une crise spéciale, irréductible à toute lecture sociale ? Analyse d'une émeute urbaine, survenue le 12 juillet 2000 dans une ZUP de Montbéliard, ce livre cherche à rendre compte d'un paradoxe apparent : pourquoi cette émeute se produit-elle alors que les indicateurs économiques et sociaux semble...(Lire la suite)
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Éditeur :
La découverte / Poche, 2003
"80 % d'une génération au bac" : ce mot d'ordre, lancé en 1985 comme objectif de l'enseignement secondaire français, fait l'objet d'un consensus politique, satisfaisant le progressisme de la gauche enseignante et le pragmatisme des gouvernements qui ont vu là un moyen de juguler le chômage de masse des jeunes. Ce slogan a nourri les espoirs d'une possible promotion sociale pour les enfants de fam...(Lire la suite)