Votre recherche “Auteur: Julien Gracq” 14 résultats
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Éditeur :
Flammarion, 1998
" La psychologie de Balzac atteint ici à des perspectives qu'on croirait à tort réservées au seul Dostoïevski.
Dès le début de ce roman, de lignes épurées et simples, aux personnages peu nombreux, à l'unité de lieu rigoureuse, aux scènes minutieusement découpées, amenées de longue main avec un art infini (...) et qui est sans doute de tous les romans de Balzac l'un de ceux qui s'approchent le plu...(Lire la suite)
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Éditeur :
Flammarion, 1998
Roman des "Etudes de moeurs" balzaciennes, Béatrix (1839) retrace l'éducation sentimentale de Calyste du Guénic, jeune homme breton aspirant à la beauté et à l'intelligence. Par l'entremise de sa protectrice Camille Maupin, écrivain et musicienne mondaine, il rencontre Béatrix de Rochefide, incarnation de la femme fatale, dont il ne tarde pas à tomber éperdument amoureux... Selon Julien Gracq, "l...(Lire la suite)
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Éditeur :
Seghers, 2003
"En juillet 2003, Julien Gracq aura quatre-vingt-treize ans. L'occasion de se replonger dans la monographie que le romancier Ariel Denis lui a consacrée il y a vingt-cinq ans
Gracq avait alors déjà publié ses grands livres mythiques, dont «Le Rivage des Syrtes» et «Un balcon en forêt», si singuliers dans la production littéraire de l'époque, dominée par les recherches des avant-gardes. En 1978, ...(Lire la suite)
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Éditeur :
J. Corti, 1988
"Au château d’Argol est le premier roman de Julien Gracq, le premier roman surréaliste tel qu’André Breton le rêvait. Les sens irrigués par les lieux et les espaces sont l’image la plus exacte des relations entre les êtres, Albert le maître d’Argol, Herminien son ami, son complice, son ange noir, et Heide, la femme, le corps. Tout autour, sombre, impénétrable, la forêt. Tout près, l’océan. La lig...(Lire la suite)
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Éditeur :
Corti, 1991
Trois récits composent ce volume :
La route (avait été publié par André Dalmas dans Le Nouveau Commerce, cahier 2, automne-hiver 1963, p. 7-23). Dans ce court texte, La Route, Julien Gracq signe une dérive onirique, sur décor de catastrophe et de civilisation – on pense au Rivage des Syrtes ou au Désert des Tartares de Buzzati – au cœur de ce sentiment d’amarres larguées qui est partout sa force ...(Lire la suite)
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Éditeur :
J. Corti, 1998
1939, ce sont les premiers mois de ce que l'on appellera la drôle de guerre.
Période de suspens, d'attente particulièrement dans les Ardennes où l'aspirant Grange a pour mission d'arrêter les blindés allemands si une attaque se produisait. A la fois île déserte et avant-poste sur le front de la Meuse où montent des signes inquiétants.
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Éditeur :
Corti, 1992
Un beau ténébreux est un roman des astres et de la catastrophe, c'est-à-dire du destin sur fond de vacances et de dérive du temps ; vacuité des personnages en attente, dans un théâtre vide.
L'arrivée d'Allan va déclencher un maelström où tous les personnages vont perdre la tête. Allan est venu sceller le destin. Tout dorénavant se déplacera par rapport à lui. (Revue 303)
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Éditeur :
J. Corti, 1986
À la suite d'un chagrin d'amour, Aldo se fait affecter par le gouvernement de la principauté d'Orsenna dans une forteresse sur le front des Syrtes. Il est là pour observer l'ennemi de toujours, replié sur le rivage d'en face, le Farghestan. Aldo rêve de franchir la frontière, y parvient, aidé par une patricienne, Vanessa Aldobrandi dont la famille est liée au pays ennemi. Cette aide inattendue pr...(Lire la suite)
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Éditeur :
J. Corti, 1993
"La forme" d’une ville est bien le titre, l’emblème, mais à l’image de la Loire, qui est à la fois la grande écartée et la grande présente du lieu (elle est le nom qui revient le plus souvent dans tout l’ouvrage), ce titre – et Julien Gracq y est explicite – livre le véritable secret de l’ouvrage : "forme", empreinte, forme que la ville [Nantes] a donnée, de manière capitale et durable à ce "je" ...(Lire la suite)
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Éditeur :
J. Corti, 1992
À la suite d'un chagrin d'amour, Aldo se fait affecter par le gouvernement de la principauté d'Orsenna dans une forteresse sur le front des Syrtes. Il est là pour observer l'ennemi de toujours, replié sur le rivage d'en face, le Farghestan. Aldo rêve de franchir la frontière, y parvient, aidé par une patricienne, Vanessa Aldobrandi dont la famille est liée au pays ennemi. Cette aide inattendue pr...(Lire la suite)
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Éditeur :
J. Corti, 1992
À la suite d'un chagrin d'amour, Aldo se fait affecter par le gouvernement de la principauté d'Orsenna dans une forteresse sur le front des Syrtes. Il est là pour observer l'ennemi de toujours, replié sur le rivage d'en face, le Farghestan. Aldo rêve de franchir la frontière, y parvient, aidé par une patricienne, Vanessa Aldobrandi dont la famille est liée au pays ennemi. Cette aide inattendue pr...(Lire la suite)
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Éditeur :
José Corti, 2014
En 1953 Gracq entreprend un roman qui se situe, comme "Le Rivage des Syrtes", dans cette zone rêveuse où Histoire et mythe, imaginaire collectif et destins individuels s’entrelacent. Il y travaille pendant trois étés. Travail difficile, hésitant qu’il abandonne en 1956 pour écrire "Un balcon en forêt" et dont témoignent les quelque cinq cents pages manuscrites du fonds Gracq à la BnF. Le récit qu...(Lire la suite)
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Éditeur :
Corti, 1991
Le titre de cette œuvre est le plus explicite des quatrième de couverture ; l’absence de virgule entre les deux gérondifs rend le glissement de l’un à l’autre logiquement équivalant, tant il est vrai qu’"on écrit d’abord parce que d’autres avant vous ont écrit".
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Éditeur :
Editions Corti, 2021
En 1980, au moment de la parution de En lisant en écrivant, Angelo Rinaldi, dans « L'express », souligna que Julien Gracq figurait parmi les contrebandiers habiles à faire passer les « frontières séparant les époques ». Plus de 40 ans après, ce constat reste d'actualité, comme si le temps avait eu peu de prise sur ses fragments, toujours devant nous.
Ce qui est frappant avec les textes inédits ra...(Lire la suite)