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Éditeur :
la Table ronde, DL 2015
"Les mots vont si vite, étirant les phrases comme si elles étaient élastiques, qu'ils s'entrechoquent parfois, prennent des raccourcis sémantiques qui affolent le sens. Ce que l'on perçoit alors et d'abord, c'est la matière même de la langue, c'est, métaphoriquement, un corps titubant comme celui d'un enfant qui apprend à marcher ou d'un adolescent ivre et gai. (...) "Les gens les gens sont des a...(Lire la suite)
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Éditeur :
la Table ronde, impr. 2010
«Dans le déferlement des messages factices, des bruits de glotte, des rengaines rhétoriques, une voix nouvelle ce n'est pas rien. Une voix vraiment nouvelle qui ne ressemble à aucune autre. Une voix qui se reconnaît d'un signe, d'un souffle, et que l'on capte à jamais, à toujours. Un tel prodige a pris depuis quelque temps le nom de Valérie Rouzeau, et c'est un prodige qui dure.» André Velter.
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Éditeur :
la Table ronde, impr. 2012
Pour la première fois, Valérie Rouzeau se frotte au sonnet. Du crépitement de ses vers très libres jaillit une tristesse allègre : Ma quarantaine sans amour sauf Ses poignées qui ne fondent pas ou une drôlerie rêveuse : Pendant qu'elle digitale envoie textos Ses orteils dansent nus vernis vernis nus Sous son trône d'un moment siège de tram Elle pianote joliment ses jtm. Elle se tient au cœur du m...(Lire la suite)