L'évangile de la force Suivi de Le nazisme peint par lui-même Robert d'Harcourt

Résumé

Paru en 1936, L'Evangile de la force reprend les positions défendues dès juillet 1932 dans la presse par son auteur, Robert d'Harcourt. Séjournant tous les ans en Allemagne et en Autriche, lecteur assidu de la presse germanique, informé par un large réseau de correspondants, celui-ci a pris très tôt la mesure du danger représenté par le nazisme, aux partisans duquel il prête une ferveur religieuse la croix gammée n'a-t-elle pas vocation à remplacer celle du Christ ? Servi par des témoignages directs et des documents de première main, L'Evangile de la force décrit les buts, les moyens et les troupes de cette idéologie païenne. Le régime entraîne dans son sillage des enfants et des adolescents sensibles au climat galvanisant des parades militaires et au rêve d'une Allemagne régénérée. Inévitablement, une telle dynamique appelle la confrontation. La France doit l'envisager avec lucidité. Ce livre, complété par Le Nazisme peint par lui-même, résonne ainsi comme un avertissement implacable.

Auteur :
d'Harcourt, Robert
Éditeur :
Paris, Perrin,
Genre :
Essai
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (419 p.)
ISBN :
9782262087531.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Préface
  •  
  • L’ÉVANGILE DE LA FORCE
    Le visage de la jeunesse du IIIe Reich
    • Avant-propos
    • I Les origines :
      la psychose du désespoir
    • II Fossé entre deux générations
    • III Religion de la nation
    • IV Anticléricalisme
    • V Antithèse de l’action et de la foi
    • VI Les associations confessionnelles
    • VII Le « ghetto » catholique
    • VIII La guerre d’usure
      contre la jeunesse catholique
    • IX Anti-intellectualisme
    • X Formation des élites
    • XI Simplisme des positions
    • Conclusion
  • LE NAZISME PEINT PAR LUI-MÊME
    • Avant-propos
    • I Fichte définit l’Allemagne :
      « le Sel de la Terre »
    • II Le christianisme et son hostilité à la vie
    • III Toute-puissance de l’hérédité
    • IV Responsabilité du parti catholique
      dans la baisse de qualité raciale
      de l’Allemagne
    • V La stérilisation de l’anormal est un devoir
    • VI L’Église prend son point d’appui
      sur le déchet racial
    • VII La femme et la sélection raciale
    • VIII Les vues raciales du docteur Dupré
    • IX La nature seule religion du Germain
    • X La réforme de Luther
      Ses dangers
    • XI Renaissance nordique
    • XII Les thèses du professeur Hermann Wirth L’homme nordique primitif
      Importance de sa conception du soleil
    • XIII Parallélisme de la courbe humaine
      et de la courbe solaire
    • XIV Dualisme religieux et cultuel
    • XV Christ « palestinien »
      et Christ « nordique »
    • XVI En empruntant au nordisme
      ses principaux traits,
      le christianisme les altère
    • XVII Le concept de faute et de rédemption
      est étranger au nordique
      L’appel vers la mort
      dans les religions de l’Orient
    • XVIII Bergmann et saint Paul
    • XIX Les trois points qui rendent le christianisme inacceptable pour le Germain
    • XX Impossibilité d’un modus vivendi
      pratiqué avec l’Église romaine
      L’exemple du Concordat
    • XXI Religion allemande
      Quelques divergences d’interprétation
    • XXII La radiation du christianisme,
      vraie pensée du professeur Bergmann
    • XXIII Vision
      (Allemagne de demain)
      • I
      • II
      • III
      • IV
      • V
      • VI
      • VIII
      • IX
      • X
      • XI
      • XII
      • XIII
    • Conclusion
    • Bibliographie*
  • Annexes
    • Vie de Robert d’Harcourt
    • Bibliographie de la préface et des notes

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