Votre recherche “Auteur: Pierre Drachline” 5 résultats
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Éditeur :
Cherche-midi, 2003
"Des êtres se rencontrent qui n'auraient sans doute jamais dû se croiser. Ils n'ont rien de commun sinon, peut-être, une certaine manière de se tenir à l'écart des flux et reflux de l'air du temps. Ils ne sont les contemporains que de leur mélancolie. Misanthrope, atrabilaire, collectionneur de mauvaises nouvelles, et amateur dautodérision, le mortimiste vit de ses rentes. Il a pour seule di...(Lire la suite)
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Du fond de son cercueil, le narrateur, personnage d'un certain âge, misanthrope, cynique, et qui a une passion pour la boisson, sait qu'il lui reste une heure à vivre. Suspendu entre la vie et la mort, les souvenirs vont bon train. Il voit défiler devant lui les êtres qui ont animé sa vie.
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A la mort de son père, le narrateur se retrouve seul, tel un enfant à la cinquantaine désabusée, et réalise qu'ils ne se sont jamais parlé. Les souvenirs reviennent alors, souvent amers : les cours de récréation, la polio, la France de l'après-guerre, les événements en Algérie, la faillite d'une petite librairie de quartier, les femmes qui passent... Peu à peu, il apprend à être orphelin et se ré...(Lire la suite)
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Éditeur :
Cherche-Midi, 2016
Avec la conviction et l'humour qui furent les siens, Pierre Drachline explore le monde de la désillusion et de la supercherie contemporaines. Les fausses valeurs, les consensus mous et la tiédeur généralisée sont passés par les armes d'une dérision salvatrice. Mais, derrière la grande farce du vide, l'essayiste rend aussi hommage à ses compagnons d'élection : les écrivains qui ont toujours sonné ...(Lire la suite)
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Éditeur :
Corps 16, 2000
" Je pesais des tonnes dans ma tête mais la bascule n'affichait jamais plus de 45 ou 46 kilos quand je montais dessus pour voir si je m'étais un peu remplumé depuis ma sortie des camps de la mort.
La vie je voulais la mordre à pleines dents, mais je manquais singulièrement d'appétit et mes poches, fussent-elles percées, n'avaient pas grand-chose à laisser s'échapper. Je ne pouvais même pas dire q...(Lire la suite)