Table des matières

• Sommaire
• Introduction
• Chapitre 1 La période médiévale :
  une histoire chrétienne
  • 1. Une histoire injustement sous-estimée
    • 1.1. La tradition historiographique
    • 1.2. Les documents dont dispose l’historien médiéval
      • 1.2.1. Ses références
      • 1.2.2. Archives et sources
        • – La conservation des archives
        • – Les bibliothèques
        • – La quête des sources
        • – Les sources « auxiliaires »
        • – Les sources orales
  • 2. L’invention d’un genre autonome
    • 2.1. La mise au point progressive d’une méthode
      • 2.1.1. Fixer la chronologie
      • 2.1.2. Critiquer les documents
      • 2.1.3. Les améliorations techniques
    • 2.2. La diversité de la production historique
  • 3. À L’ombre des cloîtres et des cathédrales : l’histoire des clercs
    • 3.1. Les évêques : premiers commanditaires
      • 3.1.1. Grégoire, Évêque de Tours, historien des Francs (538-594)
      • 3.1.2. Les histoires épiscopales
    • 3.2. Les moines
      • 3.2.1. L’histoire bénédictine : une histoire savante
        • – L’abbaye de Fleury
        • – La réussite exceptionnelle de Saint-Denis
      • 3.2.2. L’histoire écrite dans les ateliers monastiques
      • 3.2.3. Les ordres mendiants
        • – L’histoire dominicaine : une histoire livresque
        • – L’histoire franciscaine : de « belles histoires »
  • 4. L’Histoire des laïcs
    • 4.1. Un public laïc
      • 4.1.1. Un genre très prisé : les récits de croisades
      • 4.1.2. La chronique : un genre renouvelé par Froissart
    • 4.2. De l’histoire des rois à l’histoire nationale
• CHAPITRE 2 Les temps modernes :
  de l’historien de cour à l’érudit
  • 1. Le maintien de la tradition médiévale
    • 1.1. Les derniers chroniqueurs
      • 1.1.1. Robert Gaguin (1433-1501)
      • 1.1.2. Un précurseur : Philippe de Commynes (1447-1511)
  • 2. Naissance de l’histoire moderne
    • 2.1. Les éléments du renouveau
      • 2.1.1. Un public différent
      • 2.1.2. L’importance du milieu des gens de robe
      • 2.1.3. Un autre contexte politique
      • 2.1.4. D’autres exigences intellectuelles
    • 2.2. L’invention de l’histoire nouvelle
      • 2.2.1. Étienne Pasquier (1529-1615)
    • 2.3. Des théoriciens de l’histoire
      • 2.3.1. Jean Bodin (1530-1596)
      • 2.3.2. La Popelinière (1541-1605) ou l’idée de l’histoire accomplie
  • 3. Le XVIIe siècle : du désintérêt à la « crise de conscience européenne »
    • 3.1. L’histoire au service de la monarchie absolue
      • 3.1.1. La question des origines
      • 3.1.2. La place de l’histoire
    • 3.2. Loin de l’érudition : écrire l’histoire au « grand siècle »
      • 3.2.1. Un discours narratif
      • 3.2.2. Une histoire chrétienne
      • 3.2.3. L’histoire : instruction morale et politique
      • 3.2.4. Que penser des historiens classiques ?
    • 3.3. Les « antiquaires », conservateurs de l’héritage érudit
      • 3.3.1. Le rôle des équipes collectives
      • 3.3.2. Papenbrœck (1628-1714) et Mabillon (1632-1707)
      • 3.3.3. La fondation d’institutions
• Chapitre 3 L’histoire adulte :
  de Voltaire à Lavisse
  • 1. De nouveaux horizons
    • 1.1. L’histoire des philosophes : une histoire des civilisations
      • 1.1.1. Montesquieu (1689-1755) et le déterminisme historique
      • 1.1.2. Voltaire (1694-1778) et l’histoire universelle
      • 1.1.3. Diderot (1713-1784) et d’Alembert (1717-1783)
    • 1.2. L’importance de la révolution française
      • 1.2.1. Le vandalisme révolutionnaire
      • 1.2.2. L’enseignement de l’histoire
  • 2. L’histoire romantique : une passion qui fonde une méthode
    • 2.1. Un climat porteur
      • 2.1.1. L’histoire nationale
      • 2.1.2. L’appareil institutionnel
    • 2.2. la génération des historiens romantiques
      • 2.2.1. L’histoire « résurrection de la vie intégrale »
      • 2.2.2. Jules Michelet (1798-1874)
  • 3. L’histoire devient une science
    • 3.1. Taine et Fustel de Coulanges
      • 3.1.1. Hippolyte Taine (1828-1893)
      • 3.1.2. Fustel de Coulanges (1830-1889)
    • 3.2. Le traumatisme de la défaite face à la Prusse (1870)
    • 3.3. Les décisions officielles : un foisonnement de structures nouvelles
      • 3.3.1. La création de sociétés et d’institutions
      • 3.3.2. Histoire et mémoire
  • 4. L’école méthodique
    • 4.1. La réforme de l’enseignement
    • 4.2. Le métier d’historien
    • 4.3. Le manifeste de 1876
    • 4.4. Deux carrières d’historiens : Gabriel Monod (1844-1912) et Ernest Lavisse (1842-1922)
• Chapitre 4 L’histoire en question :
  les remises en cause du XXe siècle
  • 1. Le renouveau des années 1900
    • 1.1. L’explosion des sciences sociales
      • 1.1.1. La revue de synthèse historique
      • 1.1.2. Les débuts de la sociologie
      • 1.1.3. Une autre géographie : l’école vidalienne
    • 1.2. Les années 1920 et l’invention de l’histoire économique
      • 1.2.1. Ernest Labrousse (1895-1988)
  • 2. La révolution des Annales
    • 2.1. La fondation de la revue
      • 2.1.1. Une rupture avec l’école méthodique
    • 2.2. La nouveauté de la pensée des Annales
    • 2.3. Les fondateurs des Annales : Lucien Febvre et Marc Bloch
      • 2.3.1. Lucien Febvre (1878-1956)
      • 2.3.2. Marc Bloch (1886-1944)
  • 3. La « nouvelle histoire »
    • 3.1. De nouveaux centres d’intérêt : l’histoire au carrefour des sciences sociales
      • 3.1.1. Rivale : la sociologie ?
      • 3.1.2. Un champ neuf : les débuts de la démographie historique
      • 3.1.3. Le temps de l’économisme triomphant
      • 3.1.4. Entre Annales et « nouvelle histoire » : Fernand Braudel (1902-1985)
    • 3.2. Le manifeste de la « nouvelle histoire »
      • 3.2.1. Une présence inégalée dans les médias
      • 3.2.2. La production historique
      • 3.2.3. L’histoire des mentalités
      • 3.2.4. Des doutes exprimés…
    • 3.3. Vitalité des territoires délaissés par les Annales
      • 3.3.1. Autres historiens, lieux différents
• Chapitre 5 « Tournant » des années 1980
  et recompositions historiographiques
  • 1. « Crise de l’histoire » ?…
    • 1.1. Les signes du déclin
      • 1.1.1. L’histoire perd du terrain dans l’édition de sciences humaines
      • 1.1.2. Entre terre ferme et espaces inconnus
    • 1.2. Le tournant des années 1980-1990
      • 1.2.1. Les influences venues d’ailleurs
      • 1.2.2. L’histoire sur la sellette ou « linguistic turn »
    • 1.3. Réponses et réactions
      • 1.3.1. La réponse des annales : le « tournant critique »
      • 1.3.2. Les retours
      • 1.3.3. L’historiographie
  • 2. …Ou recompositions historiographiques ?
    • 2.1. L’histoire culturelle : une histoire conquérante
      • 2.1.1. LE TOURNANT DES ANNÉES 1980
      • 2.1.2. Des historiens nombreux
      • 2.1.3. Quelle histoire sociale ?
      • 2.1.4. Le genre
    • 2.2. L’histoire politique
      • 2.2.1. Une vitalité ancienne
      • 2.2.2. Un espace neuf : le temps présent
    • 2.3. Territoires en marge
      • 2.3.1. L’histoire économique 
      • 2.3.2. Histoire de « spécialistes » : l’histoire religieuse
  • 3. Renouvellements des objets et des perspectives
    • 3.1. Usages de l’histoire en France
    • 3.2. La mondialisation : en histoire aussi
    • 3.3. Internet et les historiens
• Conclusion
• Les œuvres historiques
• 1Les histoires de la révolution française
• Histoires de France
• Bibliographie générale
  • 1. Anthologies
  • 2. Ouvrages généraux
  • 3. Revues et sites internet
  • 4. Ouvrages spécialisés
  • 5. Souvenirs et propos d’historiens