J'ai joué avec le feu Jean-Francois Larios, Bernard Lions
Résumé
L'autobiographie explosive du meilleur joueur du début des années 1980. Comme il le dit lui-même, Larios est mort deux fois. La première à la fin de sa carrière de footballeur, brisé par un mode de vie dissolu et les blessures graves dont il ne se remettra jamais ; la seconde, l'année dernière à la suite d'un grave accident cardiaque. Persuadé d'être désormais en sursis, il a choisi de prendre la parole afin de donner sa version, sa vision de quarante années dans les coulisses du football de très haut niveau. Beau gosse, talentueux, noceur, c'est la star des années 1978-1982. Il connaît deux épopées en Coupe d'Europe avec les Verts (1976) et Bastia (1978). Sa carrière bascule en 1982 lorsqu'il doit quitter l'équipe de France et Saint-Étienne pour des raisons extra-sportives. Dans ce livre-confession, Jean-François Larios lève enfin le voile sur ce qui reste le plus grand non-dit du football français. Il raconte aussi la flambe, le dopage, les agents véreux (dont il fut la victime comme joueur et qu'il a côtoyés par la suite en gérant notamment les intérêts de Patrick Viera) et comment il a payé pour les autres sans parler dans l'affaire des transferts de l'OM (2007). Jusqu'alors muet sur toutes les dérives du foot, il a décidé de tout dire.
- Auteur :
- Larios, Jean-Francois, Auteur du texte
- Contributeur :
- Lions, Bernard
- Éditeur :
- PARIS cedex 13, SOLAR, 2017
- Genre :
- Autobiographie
- Langue :
- français.
- Description du livre original :
- 1 vol. (336 p.) ; 23 cm
- ISBN :
- 9782263152917.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Aimer à en crever
- Chapitre I Le petit homme vert
(1973-1977)- Du maïs au caviar
- Monsieur Larqué
- Joyeuses Pâques
- « Pas de chèque, pas de match »
- Le Chaudron de la dépression
- L’école buissonnière
- SDF à Monaco
- Janvion, le moineau et le félin
- Petites pépées à Yaoundé
- Vendredi noir
- Un mot de trop à Glasgow
- Stock-car à Saint-Chamond
- Kidnappé par une prostituée
- Banni par les Canaris
- Chapitre II Bastia, un prêt de toute Beauté
(1977-1978)- Bidonstade
- Alain Deloin
- Lisbonne, en deux minutes chrono
- C’est le pied… gauche
- Chaude-pisse à Newcastle
- Gran Torino
- Iéna, Johnny Be Good
- Zurich, le chant du départ
- Eindhoven, une finale tombée à l’eau
- Chapitre III Magic Larios
(1978-1983)- Quatre centimètres en six mois
- Lacombe creuse notre tombe
- Sarramagna, ce mulet
- Orteil cassé, contrat à honorer
- Rep, le mercenaire
- Boniek, au Whisky
- Santini, fan de Bob Marley
- Paganelli siffle tout mon champagne
- Georges Marchais, je ne l’avais pas sonné
- Larios Ier, roi de France
- Trêve à Tahiti
- Barberis, un tibia qui crisse
- Pelé fait son cinoche
- « L’Espagnol ! L’Espagnol ! »
- Le Real, l’ombre du mal
- La caisse noire
- Herbin-Garo, sacré duo
- L’argent fait le malheur
- Lopez, l’homme de Rocher
- J’insulte Michel Vautrot
- JFL Collection
- Faux départ à Tottenham
- Le prix de ma liberté
- Chapitre IV Mes amours, mes emmerdes
- Yeux bleus
- La femme d’à côté
- Genestar, « l’ami » des stars
- Pivot, le lâcheur
- La noblesse d’Hidalgo
- Rocher, la morale à deux balles
- « La cause de tout »
- Une aire pas de tout repos
- La confrontation
- La bassesse de Nogues
- L’abandon
- Le dernier appel
- Le dieu Mannequin
- Véro, année zéro
- Retrouvailles glacées
- Chapitre V Les Bleus, pour la gloire
de mon père
(1978-1982)- Sidi Bel-Abbès, un départ sans retour
- Belfort, on chialait de froid
- Luxembourg, fêlé comme un coq
- New York, Berdoll et Albert de Monaco
- Six s’enfuit dans la forêt
- Limassol, Monsieur Larqué et sa botte secrète
- Madrid, vu, pas pris
- Font-Romeu, Francis Cabrel et les communistes
- Bilbao, le coup de chaud de Battiston
- Valladolid, la trahison d’Hidalgo
- Tordesillas, ce cher Tigana
- Séville, dans les bras de Platini
- Alicante, le dernier arrêt
- Strasbourg, l’impossible come-back
- Chapitre VI À bout de souffle
(1983-1988)- Atlético, bobo, rideau
- Club Med à Montréal
- Prost, la grande classe
- Compte gâché en Suisse
- Basilevitch « m’a tuer »
- Félix et les clochards
- À l’envers chez Jaeger
- Piasecki, l’aigri
- Maradona arrière-gauche à Nice
- 300 000 francs la mi-temps
- Nicollin, un drôle de Loulou
- Mosca show
- Chapitre VII Jeff le flambeur
- Ibiza, c’est ecsta
- Casino royal
- Napoléon : « L’homme battra la machine »
- Flambé à l’alcool
- La comtesse
- Douze millions au Loto sportif
- Papasaoul
- Chapitre VIII Ma part d’ombre
- Captagon
- Marié à la cocaïne
- Philippe Léotard, le testament d’un poète
- Interne à l’hôpital Laennec
- Al Pacino et les poivrots
- Merano, Pavarotti et sang nouveau
- Clinique Montevideo
- L’Espagne de la dépression
- Cerdan, un poing tendu
- Chapitre IX Ma seconde vie
- Le Guen, à l’insu de son plein gré
- Witschge, « fils de pute » et pata negra
- Blanc en vert
- La déception Migliaccio
- Licence et garde à vue
- Ginola met Rocheteau à la retraite
- Un feu de Paille
- Vieira, coup de béquilles à l’Ajax
- L’exemplaire Wenger
- Bob Marlet et Depardieu
- De haut en Ba avec Denisot
- Leonardo, un Moutier dans le dos
- Anelka, la revanche du siècle
- Batistuta, caviardé au Paris-SG
- Ce très cher Wiltord
- Saïb, ça clashe, ça passe et ça casse
- Ba, Barça, tracas
- World Football et compagnie
- Bakayoko et « ces cons d’Anglais »
- La face cachée des rétrocommissions
- Henry, peur sur la ville
- Anelka sonne le glas
- Marc Roger, l’associé contre X
- Sow, un trou de 120 000 euros
- Chapitre X Mon compte est bon
- Ô Rojas, ô désespoir
- « Démerde-toi, on ne veut plus de ce type ! »
- La clause secrète de Domoraud
- Kaba Diawara, la triangulaire de fou
- La vendetta de Dubiton
- Le traquenard de Perpignan
- Courbis, ça glisse
- Faux rebond à Bordeaux
- Louis-Dreyfus, le naïf
- Van Ruymbeke et les « primes Nike » du Paris-SG
- Chapitre XI Milliardaire
- Remerciements :
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