Votre recherche “Sujet: Pères et fils” 17 résultats
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Éditeur :
Gallimard, 2004
"On l'appelait "" l'Américain "". Après le Débarquement, il avait rencontré ma mère lors d'un bal donné à Rouen, en l'honneur des libérateurs. Et il s'était fixé en Normandie. Il me battait beaucoup. Il battait, surtout, beaucoup maman. C'est pourquoi j'ai passé mon enfance à vouloir le tuer. Ma haine contre lui ravagea tout en moi, ma lucidité et mon humanité. Jusqu'à sa mort. Mais jamais je n'o...(Lire la suite)
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Éditeur :
B. Grasset, impr. 2014
L'histoire d'un enfant à la santé fragile qui prie Dieu pour qu'il provoque la mort de son père, violent et pervers, raciste et antisémite, dont il fera tout pour être le contre-modèle. Un roman des origines dans lequel l'auteur se dévoile et raconte sa filiation personnelle et intellectuelle, livrant la clé de toute son oeuvre
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Éditeur :
Éd. du Seuil, 1994
Un livre sur les rapports existant entre père et fils, écrit pour être lu par des adolescents. Petit à petit, mine de rien, les concepts fondamentaux de l'éthique (liberté, responsabilité, bonheur, plaisir, conscience, autrui, etc.) se mettent en place et en perspective les uns par rapport aux autres
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Éditeur :
Oh ! éd., impr. 2010
Un père fait parler son fils, foudroyé par une méningite à vingt ans. Il raconte le deuil et décrit les jours et les semaines qui suivent son décès. Goncourt du premier roman 2011.
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2009
Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008.
Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tun...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2009
Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tun...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2009
Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tun...(Lire la suite)
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Éditeur :
Albin Michel, impr. 2006
"« Moi, pédiatre, je n'arrivais pas à te guérir » : Antoine Galland, pédiatre renommé, écrit à son fils Thomas. Atteint, peu avant la naissance, d'une légère lésion cérébrale qui n'a laissé, selon les spécialistes, que quelques traces cicatricielles, l'enfant rayonnant de vie a cessé à dix mois de se développer normalement. Aujourd'hui, Thomas a quarante ans. Il ne parle pas, ne lit pas, mais com...(Lire la suite)
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Éditeur :
A. Carrière, impr. 2010
"Ainsi vont les funérailles d'un homme. Son corps est encore chaud que l'on parle déjà viande froide et plateau de fromage." Dans ce récit, l'auteur raconte les huit jours qui ont suivi le décès de son père. Un incroyable marathon familial où le rire succède aux larmes, où le recueillement côtoie le burlesque, où la réalité reprend le dessus, incongrue, matérielle, prosaïque, certes. Mais nécessa...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2012
"J'aimais qu'il m'emmène au cinéma, j'aimais l'entendre parler à un tiers du film que nous avions vu ; j'aimais sa façon de se moquer des imbéciles, des gens creux et teigneux, comme j'aimais l'entendre parler d'une nouvelle variété de fruit, d'une ville qu'il avait visitée, d'un livre ou des dernières nouvelles, mais je voulais surtout qu'il me cajole et m'aime encore plus." Le grand écrivain tu...(Lire la suite)
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Éditeur :
Fayard, 1998
Après "Rue des archives" qui racontait la mort de sa mère, Michel Del Castillo dresse ici le portrait de son père. Surtout les retrouvailles et la confrontation avec l'homme qui l'avait abandonné enfant.
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Éditeur :
Flammarion, 2000
Etre un petit garçon de cinq ans, en 1941, c'est se retrouver victime d'une bien mauvaise plaisanterie de l'Histoire. Le mal ne serait pas si grand si la tendresse d'une mère, la chaleur d'un foyer protégeaient l'enfant et ses frères contre le vent mauvais d'un temps sans pitié
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Éditeur :
Phébus, 2003
Un homme parvenu à la moitié de sa vie enterre son père qui fut, dans la Suisse des années 30 et 40, un nazi notoire et qui le restera jusqu'à sa mort.
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2010
Longtemps je me suis interdit d'aimer deux pères à la fois. Michel, celui qui m'adopta à l'âge de dix ans, me donna son nom de Méditerranée, son temps infini, une affection aussi discrète que démesurée. En aimer un autre eût été à mes yeux une trahison. Pourtant j'avais bien sûr un père naturel, un père biologique : Maurice Maman, médecin accoucheur. Juif du Maroc, dont j'ai cru pouvoir nier l'ex...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2010
Longtemps je me suis interdit d'aimer deux pères à la fois.Michel, celui qui m'adopta à l'âge de dix ans, me donna son nom de Méditerranée, son temps infini, une affection aussi discrète que démesurée. En aimer un autre eût été à mes yeux une trahison. Pourtant j'avais bien sûr un père naturel, un père biologique : Maurice Maman, médecin accoucheur. Juif du Maroc, dont j'ai cru pouvoir nier l'exi...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2012
«Voici à peu près comment je me représente la démence en cette phase moyenne où mon père se trouve en ce moment : c'est comme si l'on vous arrachait au sommeil, on ne sait pas où l'on est, les choses tournent autour de vous, les pays, les êtres, les années. On s'efforce de s'orienter mais l'on n'y parvient pas. Les choses continuent de tourner, morts, vivants, souvenirs, hallucinations semblables...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, impr. 2012
« Voici à peu près comment je me représente la démence en cette phase moyenne où mon père se trouve en ce moment : c'est comme si l’on vous arrachait au sommeil, on ne sait pas où l’on est, les choses tournent autour de vous, les pays, les êtres, les années. On s’efforce de s’orienter mais l’on n’y parvient pas. Les choses continuent de tourner, morts, vivants, souvenirs, hallucinations semblable...(Lire la suite)