Table des matières

• Table des sigles / abréviations
• Préface
• Introduction
  • Préciser l’épreuve de la déficience visuelle
  • Une sociologie du handicap ancrée dans une sociologie générale
  • Une réflexion ancrée sur des données empiriques
  • Organisation de l’ouvrage
• Chapitre I : Les personnes déficientes visuelles : une population historiquement définie, complexe à quantifier
  • Des pouvoirs publics au monde associatif : la prise en charge des personnes déficientes visuelles
    • Des déficients visuels saisis par l’État : un encadrement précoce par les pouvoirs publics
    • La prédominance contemporaine du secteur associatif
  • Une population complexe à explorer : les personnes déficientes visuelles
    • Une tentative d’exploration statistique : l’enquête Handicap-Incapacités-Dépendances de l’INSEE
    • Une population restreinte, des caractéristiques sociales affirmées
• Chapitre II : Temps contraint, temps handicapé : l’apprentissage d’une différence
  • Temps du corps, temps des prises en charge
    • Quand apparaît la déficience visuelle
    • Le temps des prises en charge
  • Les temps d’une formation professionnelle « dite » adaptée
    • Être orienté ou s’orienter au sein d’un milieu adapté
    • Le temps des prérequis
    • Des modes de fréquentation divergents
  • Vivre le temps de la différence
    • La vie, quand elle ne suit pas son cours
    • Réordonner le temps
    • Une comparaison prégnante avec le « monde des valides »
• Chapitre III : L’apprentissage du corps déficient visuel
  • Corps à corriger, corps à réinventer
    • Au cœur des apprentissages, la philosophie de la réadaptation
    • Les différentes figures du rééducateur
    • Les limites du rééducateur
  • L’apprentissage par corps
    • De nouvelles techniques corporelles
    • Le corps rééduqué, un outil professionnel ?
      • Karim : une certaine fierté de la cécité
    • Rééduqués, corps et âme ?
• Chapitre IV : Une communauté aux deux visages
  • Vivre ensemble en ces lieux
    • Des lieux séparés
      • Kader : une vie en itinérance
      • Salima ou la conscience d’une exclusion
      • Robert et Karim : deux « mémoires vivantes » du centre de formation
    • Être déficient visuel et professionnel du handicap
      • La trajectoire professionnelle de Louise : lorsque l’expérience personnelle se conjugue à la carrière professionnelle
  • L’émulation entre les pairs : une visée pratique
    • Une gestion collective du corps limité
      • Khaled et le monde spécialisé, une ressource pour penser une difficile présentation de soi
    • Une gestion collective de la relation aux dispositifs d’aide
    • Un échange de ressources au quotidien
  • Une communauté structurée et contrôlée
    • Liens amicaux, liens amoureux
    • Un groupe qui se veut homogène
    • Une réflexivité circonstanciée
• Chapitre V : Au-delà de la communauté, l’intervention des aidants
  • Le réseau familial en première ligne
    • Des portraits de configurations variés
    • Le couple parental : des mères « au front » et des pères plus discrets
      • Émilie et sa mère, pourvoyeuse de care
    • La famille, forte du partage
      • Marie et sa famille : un partage féminin de l’expérience de la déficience visuelle
      • Zineb, une année et une personne soutien pour ses deux sœurs
    • Des limites dans l’accompagnement familial
  • L’ouverture du réseau de soutien à l’extérieur de la famille
    • Hors de la famille, ressources et expériences inédites
      • José et Tonio : deux frères solidaires et des soutiens extérieurs très présents
      • Louise ou la construction d’une ronde des aidants très dense
    • Aide, soutien, arrangements pratiques ? Exprimer l’expérience de l’aide
• Chapitre VI : Évoluer dans les espaces de la déficience visuelle
  • Des ressources locales en action
    • Des jugements profanes sur l’institution
    • Des classifications indigènes élaborées
    • Des ressources aux compétences sociales locales
  • Les multiples effets de la fréquentation des institutions spécialisées : optimiser, naviguer, se perdre
    • Optimiser : un rapport rentable à l’institution
      • José et Tonio : une ascèse et une mobilisation de tous les instants
    • Naviguer : maintien du « sens de soi » et rapport distancié à l’institution
      • Karim : un maintien du quant à soi entre engagement et distanciation
    • Se perdre : s’en remettre entièrement à l’institution
      • Patrice, seul face aux institutions spécialisées
• Conclusion générale
  • Une carrière et une socialisation
  • Des évolutions individuelles différenciées
  • Une réflexion générale sur la socialisation et la communauté
• Bibliographie
• Glossaire