Chroniques de vies ordinaires Valérie Agha

Résumé
Dans la lignée des "Tribulations d'une caissière" d'Anna Sam, Valérie Agha nous livre une radiographie sans concession, mais non sans humour, de ces Français qui ne font jamais l'ouverture du JT. Sylvie, Félicien, Marcel, Ginette, M. Abdoulaye... Autant de noms que vous ne pourrez plus oublier en refermant cet ouvrage écrit à la première personne, depuis le terrain, avec un ton lucide et décalé, mais toujours respectueux. Qu'elles soient hilarantes ou tristes à pleurer, ces Chroniques de vies ordinaires interpellent souvent et émeuvent toujours. Parce que c'est l'instantané d'un milieu, d'un univers, d'une époque, qui s'en dégage. Bref, notre monde vu depuis une salle d'attente.
- Auteur :
- Agha, Valérie (1977?-....)
- Éditeur :
- Paris, Fleuve noir, impr. 2010
- Genre :
- Témoignage
- Langue :
- français.
- Note :
- La couv. porte en plus : "carnets d'une assistante sociale"
- Mots-clés :
-
- Nom commun :
- Service social -- France -- Récits personnels
- Description du livre original :
- 1 vol. (217 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm
- ISBN :
- 9782265090804.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Je te salue bien bas, Bob
- On se forwarde l’ordre du jour,
et on se réunit - Félicien, M6 et moi
- Aujourd’hui, on peut se surendetter
avec une télécommande - Nous sommes toujours
sans nouvelles de Mme Ravin- Visite à domicile, brève définition
- Dans la boîte de chocolats
bon marché, je tombe toujours
sur celui dont personne ne veut - Ma secrétaire est suicidaire
- Il y a des chemins
plus tortueux que d’autres - Tout est clair
- Félicien, Julien Courbet et moi
- Trait d’union
- Ma secrétaire est sourde
- Fanny
- Cité du courant d’air
- On a bel et bien vu Lionel
sur son tracteur - On n’est pas à la Française des jeux !
- Pince-mi et Pince-moi
sont dans un bateau ;
Pince-mi et Pince-moi tombent à l’eau - Félicien, dix euros,
un Mars et moi - Ne jamais plaquer ses propres désirs
sur ceux d’autrui - Dont acte
- Y’a des matins comme ça
- Enfin une vraie pauvre !
- C’est aussi pour eux,
que j’ai décidé d’écrire - C’est de cette manière
que mon calvaire a commencé - Je me dis qu’il vaut mieux
arrêter d’imaginer - Remerciements
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