Le jour où on a vendu nos vaches Christophe Le Monnier, Ludivine Le Monnier, Bérengere Lepetit

Résumé

"Août 2014. La première saisie sur mon compte est tombée en plein été. En quelques secondes, tout ce que j'avais gagné en un mois est parti en fumée, pris par l'huissier. Quand j'ai découvert la ponction sur Internet, j'ai commencé à respirer très fort. Dans ma tête, tout a tournoyé. Mon coeur battait la chamade. Et là, je ne sais d'où cela sortait, mais je me suis mise à rire, à rire, à rire ! Un rire plus fort que moi, plus fort que tout, nerveux, inextinguible." En décembre 2015, Christophe Le Monnier, fils et petit-fils d'agriculteurs, décide d'abandonner son élevage de vaches laitières pour sortir sa famille des dettes. Dans la foulée, son épouse Ludivine, vendeuse en décoration à Bricomarché, lance un collectif de femmes d'agriculteurs baptisé Les Foulards Noirs. Une manière, pour elle, de sensibiliser les consommateurs et de lever le voile sur la détresse et les tabous du monde rural. De leur rencontre aux manifestations paysannes en passant par les batailles contre les groupes laitiers, les revenus qui baissent drastiquement, les doutes, les problèmes de couple, la crainte de la dépression et même pire... ces deux combattants racontent sans fard le quotidien d'une France agricole en crise.

Auteur :
Le Monnier, Christophe
Auteur :
Le Monnier, Ludivine
Contributeur  :
Lepetit, Bérengere
Éditeur :
Paris, Flammarion,
Collection :
Duchesses rebelles
Genre :
Témoignage
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (304 p.)
ISBN :
9782081404434.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Chapitre premier « Maman, c’est fini,
    y aura plus jamais de lait ! »
    • 1.
    • 2.
    • 3.
    • 4.
    • 5.
  • Chapitre deux « D’où tu me chopes par le bras ? »
    • 1.
    • 2.
    • 3.
    • 4.
    • 5.
    • 6.
    • 7.
      • 8.
      • 9.
    • Chapitre trois « Moi, je suis une fille de la ville »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • 4.
      • 5.
    • Chapitre quatre « Les vaches remplissent les journées »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • 4.
    • Chapitre cinq « L’agriculteur est celui qui connaît le mieux sa commune »
      •  
    • Chapitre six « Lactalis veut transformer les fermes »
      •  
    • Chapitre sept « Le Salon de l’agriculture, c’est comme le Salon de l’auto »
      • 1.
      • 2.
    • Chapitre huit « J’essaie de calmer un peu tout le monde »
      •  
    • Chapitre neuf « Leclerc, tout le monde sait qu’ils font des vacheries »
      •  
    • Chapitre dix « La ripleur, c’est quand tu ne sais plus si tu ris ou si tu pleures »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • 4.
      • 5.
      • 6.
      • 7.
      • 8.
      • 9.
      • 10.
      • 11.
    • Chapitre onze « Une ferme ne vaut pas une vie »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • 4.
      • 5.
      • 6.
      • 7.
    • Chapitre douze « Momo, on a besoin de toi ! »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • 4.
      • 5.
    • Chapitre treize « L’État, les gens se foutent de nous »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • 4.
    • Chapitre quatorze « L’Europe, c’est la tyrannie des contrôles »
      •  
    • Chapitre quinze « Allô, je vais arrêter »
      • 1.
      • 2.
    • Chapitre seize « Les filles, vous avez de ces vies merdiques ! »
      • 1.
      • 2.
      • 3.
      • Chapitre dix-sept « Je marche des kilomètres, je n’arrête pas de courir »
        • 1.
        • 2.
      • Chapitre dix-huit « L’agriculture s’arrêtera donc là ? »
        • 1.
        • 2.
      • Chapitre dix-neuf « Mon village, dans vingt ans »
        • 1.
        • 2.
        • 3.
      • Épilogue
        • 1.
        • 2.
        • 3.
        • 4.
      • Remerciements

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