Perdre Pierre Mertens
Résumé
Retirés dans un mas provençal, deux amants réinventent la joute amoureuse comme un véritable combat de gladiateurs. Loin du monde et de ses rumeurs, coupés de leurs amis, de leurs habitudes, s'écartant des chemins trop plats et réalistes de leur quotidien, ils se donnent l'un à l'autre dans un paroxysme physique. Au plus profond de leurs fantasmes, ces deux êtres épris d'absolu se réunissent en une spirale amoureuse véhémente, alchimique, fusionnelle... Une implacable et troublante mise à nu de nos désirs et manières d'aimer qui constitue sans aucun doute l'un des plus beaux romans de Pierre Mertens.
- Auteur :
- Mertens, Pierre
- Éditeur :
- Paris, Fayard, 1984
- Genre :
- Roman
- Langue :
- français.
- Description du livre original :
- 1 vol. (366 p.)
- ISBN :
- 9782213013596.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Un palimpseste
- I. La plus simple expression
- Kennedy Airport
- Amers Indiens
- Toute une vie
- Tout un monde
- Décalages horaires
- Un homme à la mer
- Temps mort, mon rêve mort
- Emotions et sentiments
- Un harem peu encombré
- Pour en finir avec toute image de marque
- Ça se casse !
- Le sang retrouvé
- Le regard de Rembrandt
- Les pertes, pour comprendre ce que c’est, il faut soi-même en être atteint.
- Un homme de mauvaise vie
- L’ordre du jour ?
- Memorial Day
- Comme d’autres souffrent de pertes de sang, de lymphe, d’énergie ou de mémoire, moi je suis affligé de pertes d’existence.
- Donnons notre sang mais ne mourons jamais !
- Il n’y a personne au singulier
- La plus simple expression (I)
- Je dis encore « tu », mais c’est pour la forme
- Je ne dirai pas « Je », mais ce n’est pas par pudeur
- Le « Tu » devient trop petit pour toi
- Seul à travers l’Atlantique
- Un chien de sa chienne ?
- Vie quotidienne, où est ta victoire ?
- Toute idée de lutte me répugne, comme celle avec les femmes qui finit au lit.
- La plus simple expression (II)
- Imaginez une corrida pour vous tout seul.
- Retour aux sources
- II. Dans tous ses états
- III. Carthage doit être reconstruite
- Je violerai celui qui violera mes flancs.
- Carthage, 17 août.
- L’amour est un travail puisqu’il faut le faire.
- IV. Jeu Blanc
- Coda
- Table des citations
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