Ciao connard : : un conte qui décompte Florian Eglin
Résumé
Attention, contient certains passages violents pouvant choquer. Dans une cave, un homme en torture un autre à l'aide d'un stylo plume. Ils se connaissent bien car leurs échanges relèvent de l'intime. Mais petit à petit, la cave se révèle être une bibliothèque renfermant des ouvrages écrits par le supplicié. Vengeance bien réelle ou délire d'écrivain, la question se pose alors.
- Auteur :
- Eglin, Florian
- Éditeur :
- Paris :, La Grande Ourse,, 2016
- Genre :
- Roman
- Langue :
- français.
- Mots-clés :
- Description du livre original :
- 138 p.
- ISBN :
- 9791091416443.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Quatrième de couverture
- I. Hors-d'œuvre, servi façon hussarde
- II. Où l'on se fait des promesses, des promesses qu'on ne tiendra peut-être pas
- III. Mettre le couvert, avec art, avec doigté, mais sans prendre de gants pour autant, car il faut un équilibre en toutes chose
- IV. Au cœur des choses, des choses noires à marquer d'un carré blanc
- V. Entremets bien frais, juste ce qu'il faut
- VI. Certes, sans aller jusqu'à confesse, parfois, avant d'attaquer le plat de résistance, il faut que certaines choses soient dites
- VII. De rerum scripta (totalo miisteriosas sed, oh vachement interessantas)
- VIII. Parce que parfois, c'est peut-être plus simple de parler simplement godasses
- IX. Primo piatto (tout vient donc forcément à point à qui doit attendre)
- X. Des fois, il faut quand même savoir de quoi on parle, mais seulement des fois
- XI. Secondo piatto i tutti quanti, mais pas frutti (parce que les frutti c'est après)
- XII. Ouvrir l'œil, et le bon
- XIII. Ce face à face qui fait mal au ciboulot
- XIV. Carpe diem et memento mori
- XV. Un répit bienvenu, un break, quoi
- XVI. Une mise au point nécessaire, mais difficile à avaler, c'est que des fois, il faut ce qu'il faut
- XVII. Un chat piqué au vif se transforme parfois en loup, bref, de Charybde en Scylla
- XVIII. Expectatives digestives
- XIX. Cette fumée qui nous enveloppe en permanence
- XX. Comme annoncé, ce n'est pas un Deus ex machina qui se pointe in extremis
- XXI. La fleur est le fruit du fumier et le fumier le fruit de la fleur, bref, c'est le bouquet qui se mord la queue
- XXII. La cerise sur le gâteau, enfin
- XXIII. Et ils vécurent heureux et patati et patata, en tout cas, à moins d'un pavé profond dans la mare, ils étaient bien partis pour faire comme si
- XXIV. Ce n'est que...
- XXV. ...le commencement
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