Léo Ferré : une vie d'artiste : biographie Robert Belleret
Résumé
De Monaco, où il est né, à Saint-Germain-des-près, la Mutualité, l'Olympia et tant d'autres salles, on suit ici pas à pas la vie, la carrière, l'engagement de Léo Ferré, dont l'œuvre – à clefs – est le fidèle miroir. À partir d'une masse de documents, de témoignages, à partir des textes de Ferré eux-mêmes, Robert Belleret a tiré le fil d'une vie complexe et passionnée pour écrire «LA» biographie, fascinante, de l'homme et de l'artiste Léo.
- Auteur :
- Belleret, Robert (1946-....)
- Éditeur :
- Arles, Actes Sud, DL 2016
- Genre :
- Biographie
- Langue :
- français.
- Note :
- Discogr. p. 737-742. Index
- Mots-clés :
-
- Nom de personne :
- Ferré Léo 1916-1993 -- Biographies
- Description du livre original :
- 1 vol. (773 p.) : ill. ; 25 cm
- ISBN :
- 9782330064174.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Remerciements
- Note de l’éditeur
- Avant-propos
- Première partie
- Marie maman voilà ton fils…
- À mon père, Joseph
- Raviolis spaghettis / et gnocchis et cappelleti
- Nous voulons la paix des chiens
- On voyait les chevaux de la mer
- Je vois des tramways bleus sur des rails d'enfants tristes
- Ma rousse de neuf ans
- Je dirigeais alors des orchestres fantôme
- Ludwig la joie Ludwig la paix
- Deuxième partie
- Moi j’endossais ma vieille pèlerine
- C’est une leçon d’ennui / l’enfance
- Je vous hais hommes noirs de mes découvertes
- À bec d’azur du pif comptant
- L’âme de son enfant livrée aux répugnances
- L’âme des vieux soleils
- L'enfance / c'est l'innocence rapiécée / c'est toujours ça d’passé
- Troisième partie
- Monsieur tout-blanc / entre nous dites
- Ta gueule, philo
- Pour tout bagage on a sa gueule
- Dans mon sixième / même en carême / y a l’café crème
- Les révolutions ? Parlons-en
- Quartier latin
- Les feuilles mortes de prévert font la terrasse…
- Quatrième partie
- Tu pars soumis défait boutonné de métal…
- Petit soldat deviendra grand
- Regardez-les défiler
- Qu’il est long le chemin de l’amour
- Dans les dancings / et dans l’smoking / d’papa
- Quand j’étais môme /la musique coulait comme du miel
- Comme un satin de blanc marié
- A peille je men vais ce soir
- A la radio on jouait please
- Nous les mesquins, les ratés, les aigris
- Cinquième partie
- La vie d’artiste
- On m’a prêté quatre vieux murs
- Mon camarade
- Qu'il est loin le chemin d'amérique
- Moi je conserve le piano
- Vivre de l’air du temps
- Le beau taulier des assassins
- Les frangins d’la night
- T’avais un nom d’oiseau/et tu chantais comme cent
- J'habite a Saint-Germain-des-Prés
- Regardez-les tous ces voyous
- C’est l’homme
- Cette “écluse" où la galère échoua
- Karl Marx / Allez, passez
- Sixième partie
- Je t’aime, tu m’aimes, on s’aimera…
- Alors vous m’avez donné la main …
- Mets ton habit scaphandrier…
- Mon ami l’espagnol de la rue de madrid
- Écoutez la chanson foraine
- Le bonheur ça vient toujours après la peine…
- Nos plus beaux souvenirs fleurissent sur l'étang
- En amour tout commence par des chansons
- Mon vieux copain, mon vieux judas
- Paris marlou/ aux yeux de fille
- Je chantais en bas a l’arlequin
- En ces temps de pershing dans la province de maillot
- Si j’avais des sous
- Il arriva jusqu'à la quarantaine / sans fredaines
- J’suis un type a part/ une graine dananar
- Le divan de schéhérazade / et le clavecin de mozart
- Mon beau navire ô ma mémoire
- Sous le règne d'un monarque absolu
- Des lustres, un prince, quatre-vingts musiciens et une baguette
- Et comme l'espérance est violente
- Les faits divers que l’on mâchonne
- Jm'appelle robinson/ sacré nom de nom
- Monsieur mon passé/ laissez-moi passer
- Alors tus’ras sur l’affiche/a coquatrix
- Deux bouquets trois chansons et la lune
- La voix d’andré breton
- La poésie contemporaine ne chante plus. Elle rampe
- A bientôt dédé a bientôt
- Poète... Vos papiers
- Les copains d’la neuille
- Nuit putain/nuit papou
- Mon bel oiseau du malheur
- Maurice de clichy
- Une page donnée au vent des revendications nécessaires
- Sur cette offset a la voix off
- C'est cet homme qui s'promène /la nuit en plein midi
- Là, tout n'est qu'ordre et beauté
- Rappelle-toi ce chien de mer
- J’ai pris a mackie son costume
- Mister giorgina
- Moi je suis du temps du tango
- On y voit passer les nuages
- Le vent qui hurle sur la mer
- Il n’aurait fallu…
- J'ai vécu le jour des merveilles
- Septième partie
- T’es toute nue sous ton pull…
- Sur les pianos du cœur et les violons de l’âme
- Les âmes de nos chiens en bouquets réunies
- Mais notre âge alors / sera l’âge d’or
- Et qu’on ne me fasse point taire
- T'avais le cœur comme un tambour / pépée
- Ta parole, ma parole, ça fera vibrer
- La vie moderne, vie moderne
- Les temps sont difficiles
- Si ton corps était de fine dentelle
- Ce style de l’lnvectlve
- Avec nos journaux-pansements / qui sèchent les plaies prolétaires
- Cette robe de dix sacs / tes cheveux en vrac
- Paradis perdrigal le jaune te va bien
- T'avais les mains comme des raquettes / pépée
- Les persiennes tirées sur un été de bravade
- A même du printemps chez l’malheur
- Yé yé ! Lucienmorisse
- Salut ! Camarades
- Et ta pépée qui fait le toit …
- Écoutez la chanson bien douce
- Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir
- Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues/ vertes
- Unir en chœur tous les poètes
- Mes amis qui m’étiez fidèles / où êtes-vous
- Je suis le fantôme jersey
- On n'écrit jamais que pour un miroir possible
- On m'appelle la télé, la montreuse a tout-va
- Ce cri qui n’a pas la rosette
- Monsieur Barclay
- Tu veux tout ça maint’nant
- Cinquante berges dans les flancs
- Le livre de la mère
- Tu t’sapes chezl’couturier d’ton cru
- Vivre sur l’horrible et gagner au jeu
- Vertige, écroulements, déroutes et pitié
- J’tedis “salope" tum’dis “ta gueule
- C’est du chagrin qui se repose
- Un wagner de carrefour/ unbayreuthde trottoir
- Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
- Arrête un peu que j’voie / si t’as d’la voix
- Dans les faubourgs du désespoir
- Avec la fin du jour avec la fin de moi…
- Qui réparera l’âme des amants tristes ?
- Huitième partie
- Divine anarchie, adorable anarchie…
- Je donnerais dix jours de ma vie
- Ni dieu, ni maître, ni femme, ni rien …
- Va-t’en dans le matin clairet…
- J'voudrais avoir les mains de la mort/pépée
- On était trois copains avec une tragédie
- Ceux de san francisco, de paris, de milan/ et ceux de mexico
- Ils ont un drapeau noir / en berne sur l’espoir
- Yes, i’am un immense provocateur
- Paris qui s'est levé avec l'intelligence
- Regarde-moi bien/ j’suis une idole
- Je cause et je gueule comme un chien
- Soixante-huit, soixante-treize non stop !
- Mon mil neuf cent dix-sept a moi c’est dans amria
- Comme les enfants du mois de mai
- C’est extra
- Regardez-moi bien / j’suis qu’un artiste …
- Oh ! Ne les faites pas lever ! C’est le naufrage
- J'ai vécu des printemps fabuleux en hiver
- Lisant la bible du chagrin
- L’art est une excroissance de la solitude
- Ce sont de drôles de types qui vivent de leur plume
- Nous sommes des chiens de bonne volonté
- Elle était belle comme la révolte
- Des mots venus de l’autre côté de la rive
- Mathieusalem ! Mathieusalem
- A mes frangins de l’entre bise
- Et le diable des soirs conquis
- Sur la scène y a mon cœur qu’est prêt a chavirer
- Poète… circulez
- Ah, petite
- Et ce mal qui nous fait du bien
- C'est salé, c'est poivré, c’est doux, c'est huileux
- Je t’apporte ce soir mon enfant de longtemps
- Il n'y a de beauté que dans le malheur
- On oublie les passions et l’on oublie les voix
- Je m’invente aujourd’hui des chemins de traverse
- Je suis d’un autre pays que le vôtre
- Tu seras pop mon fils
- Comme si je vous disais
- Je suis demain je suis le chêne et je suis l’âtre
- Nous aboyons avec des armes dans la gueule
- Moi, j'envoie mes idées dans la rue et je fais de l'argent avec elles
- Avec le temps on n’aime plus
- On me hait. Je m’en fous. Je suis un autre mec
- Ne chantez pas la mort
- Je suis “dicté
- Il n’y a plus rien... Plus, plus rien
- Pour la reptation vous êtes imbattables
- Avec des problèmes d’hommes simplement/ des problèmes de mélancolie
- Et puis ma voix perdue que tu pourras entendre
- Avec a son piano mon hibou sérénade
- A bientôt maurice en enfer
- Neuvième partie
- Que sont mes amis devenus
- Dans le ventre d’une espagnole
- Je t’aimais bien tu sais
- Ludwig Van Vincent Gogh
- La musique souvent me prend comme une mer
- Un orchestre comme une toile / etje suis l'araignée
- De la musique avant toute chose
- Les bras tendus vers la neuvième
- Avec un vacarme grandiose où je perçois l'imperceptible
- Dans la rue la musique
- Pour ces milliards de cons qui font la solitude
- Je te donne tout ça... Marie
- Ce sont des gens d’ailleurs / les artistes
- Et qu'on dise de moi “mon dieu qu'il était con
- Quand il y aura des mots plus forts que les canons
- Une peau de crocodile sur le sentiment
- Ils traînent leurs violons au-delà des portées
- Il est six heures ici et midi a New York
- Et moi qui meurs de froid devant ma page blanche...
- Les gens il conviendrait de ne les connaître que disponibles
- Et qu'ont-ils a rentrer chaque année les artistes
- Ô ma sœur la violence ô ma sœur lassitude
- Frères humains qui après nous vivez
- Vole lactée ô sœur lumineuse
- C'est la mélancolie qu'a pris quelques années
- Le désordre, c’est l’ordre moins le pouvoir
- Et cracher sur Trotski sur Lénine et Socrate
- Glaciers, soleils dargent, flots nacreux, cieux de braises
- La beauté de cet instant fabuleux de solitude exaucée
- D’être à la fois ma sœur mon ange et ma lumière
- Au moins s’ils connaissaient le sacre du printemps
- On dit qu’on a toujours vingt ans
- En ces temps des pershing dans la province de moscou
- Lochu tu t'en souviens c'était beau dans c'temps-la
- Cette chemise-là c'est de la poésie
- Que m’arrive vite, vite, la dialectique du silence
- Sois heureux métamec
- Et oui c'est ça monsieur le printemps des poètes
- A certaines heures pâles de la nuit
- Qu’il est doux le chemin de l’espagne
- On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans
- To be or not to be... C’est a voir...
- Je t’aime, christie, je t’aime …
- Je te donne ces vers
- Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille a la mer
- Ça s’lève a l’est
- Tout seul peut-être mais peinard
- Après les premiers mots de bonjour et d'accueil
- J’avais des cheveux comme des drapeaux
- Les vieux copains / tout ridés fatigués
- Essaie donc la marche arrière
- Le mec que tu regardes, c’est de l’llluslon
- Ô saisons, ô châteaux
- Et l’on se sent blanchi comme un cheval fourbu
- Le cœur quand ça bat plus
- Épilogue
- Je ne voulais pas mourir
- Annexes
- Discographie en cd
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