Vu du pont : Suivi de Je me souviens de deux lundis Arthur Miller Marcel Aymé (adapt.), Maurice Pons (trad.)
Résumé
Vu du pont : Depuis la mort de sa mère, Catherine vit chez son oncle et sa tante, Eddie et Béatrice Carbone, à Brooklyn, non loin du pont. Elle va sur ses dix-huit ans, se coiffe les cheveux différemment, porte des jupes de plus en plus courtes et elle ne marche pas, elle ondule. Autant dire qu'elle n'est plus une petite fille. Eddie s'en est rendu compte. Et cela le perturbe, à bien des égards. Mais comment faire alors qu'elle se promène dans la maison en combinaison, qu'elle s'assoit sur le bord de la baignoire à bavarder pendant qu'il se rase, en caleçon, qu'elle lui saute au cou quand il rentre comme quand elle avait douze ans ? Et, surtout, il ne supporte pas que des hommes lui tournent autour. Lorsque le cousin sicilien, Rodolpho, débarque illégalement en Amérique avec son frère Marco, qu'il s'installe chez lui, et se met à flirter avec Catherine, il a l'impression qu'il la lui vole et éprouve de plus en plus de mal à contenir sa colère. Comme Eddie, Rodolpho est débardeur sur les docks. Les collègues se moquent de lui et l'ont surnommé d'abord la "cocotte en papier", le "canari", puis le "blondinet". A la grande consternation d'Eddie, il chante, il coud, il cuisine. Son désir d'épouser Catherine est-il sincère ? Cette dernière l'aime et est convaincue que la réciproque est vraie. Eddie n'a pas du tout confiance en lui et, petit à petit, dans la maison près du pont, la tension monte. Avec une efficacité féroce, Arthur Miller met en scène la désillusion tragique d'un homme ordinaire qui n'avait jamais soupçonné qu'il eût un destin. Une pièce brûlante sur l'obsession, la culpabilité et la trahison. Je me souviens de deux lundis : Cette pièce compte parmi les plus autobiographiques d'Arthur Miller. Elle met en scène Bert, le double du dramaturge quand il avait dix-huit ans, au début des années 1930. Bert travaille dans un entrepôt d'accessoires automobiles pour payer son inscription à l'université. Il partage son quotidien avec de nombreux collègues qui essaient tous, comme lui, de s'en sortir d'une façon ou d'une autre. A la différence qu'eux, travailleront dans cet entrepôt toute leur vie. Lorsqu'il s'en va enfin, Bert laisse derrière lui un souvenir qu'il sait éphémère. Cette pièce croque avec cynisme la vie quotidienne du New York des années 1930, c'est aussi une formidable réflexion philosophique sur les relations humaines et sur les choix importants que l'on prend ou pas, dans la vie.
- Auteur :
- Miller, Arthur
- :
- Aymé, Marcel ; Pons, Maurice
- Éditeur :
- Paris, Robert Laffont, 2015
- Genre :
- Théâtre
- Langue :
- français.
- Description du livre original :
- 1 vol. (299 p.)
- ISBN :
- 9782221114926.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Préface
- Vu du pont
- Personnages et interprètes
(par ordre d’entrée en scène)
- Personnages et interprètes
- Première partie
-
- ALFIERI
- EDDIE
- PETER, l’un des joueurs.
- EDDIE
- CATHERINE
- PETER
- CATHERINE
- PETER
- CATHERINE, riant.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, pinçant sa jupe.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, se relevant.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, forçant sa démarche ondulante.
- EDDIE
- CATHERINE, presque en larmes.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, essayant de blaguer.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, joignant les mains.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE, ébahie, à Eddie.
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, brisée par la surprise.
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE, montrant le plafond.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, elle le regarde dans les yeux.
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, les larmes aux yeux, à Catherine.
- EDDIE, riant.
- BÉATRICE, à Catherine.
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE, s’asseyant à la table.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, un temps durant lequel il regarde Catherine, puis Béatrice.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, hostile.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE, surpris, à Catherine.
- CATHERINE
- EDDIE, un temps.
- CATHERINE
- EDDIE, un temps.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, vexé.
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, sourire triste.
- CATHERINE, lui saisissant le bras.
- EDDIE, sourit avec peine.
- BÉATRICE
- EDDIE, à Béatrice.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, se bouchant les oreilles.
- EDDIE, sortant une montre de sa poche.
- BÉATRICE
- EDDIE, regarde la montre et la remet dans sa poche.
- CATHERINE
- EDDIE, dur.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE, embarrassée.
- EDDIE, sourire triste.
- CATHERINE, se levant, essayant de rire.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE
- ALFIERI
- MARCO, paysan trapu de trente-deux ans.
- TONY
- MARCO
- TONY
- RODOLPHO
- MARCO
- EDDIE
- RODOLPHO
- EDDIE
- MARCO, allant à Béatrice.
- BÉATRICE, se désignant du doigt.
- MARCO, désignant Rodolpho.
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- CATHERINE
- MARCO
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- RODOLPHO, prêt à rire.
- CATHERINE, à Béatrice.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, traverse et s’assied dans le fauteuil.
- MARCO, tandis que Béatrice traverse et s’assied sur l’escabeau.
- BÉATRICE
- MARCO
- RODOLPHO
- EDDIE
- MARCO
- BÉATRICE, riant.
- MARCO
- EDDIE, que l’embarras de Marco fait sourire.
- MARCO
- RODOLPHO, à Eddie.
- EDDIE, riant.
- MARCO
- RODOLPHO, souriant.
- BÉATRICE
- MARCO, hausse les épaules timidement.
- RODOLPHO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- EDDIE, à Marco.
- MARCO, surpris.
- EDDIE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- RODOLPHO
- EDDIE, de plus en plus, il s’adresse à Marco, seul.
- MARCO
- EDDIE
- MARCO, se lève, va vers Eddie.
- EDDIE
- MARCO, va à Rodolpho, l’entoure de son bras et rit avec lui.
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- CATHERINE
- MARCO, les larmes aux yeux.
- EDDIE
- MARCO, très ému.
- EDDIE
- CATHERINE
- RODOLPHO
- MARCO
- BÉATRICE
- RODOLPHO
- MARCO
- CATHERINE, à Béatrice.
- EDDIE, à Rodolpho.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- EDDIE
- RODOLPHO
- MARCO, geste de doute.
- BÉATRICE
- MARCO, à Béatrice.
- RODOLPHO
- MARCO
- RODOLPHO
- MARCO
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE, se levant.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- EDDIE, se tournant, à Rodolpho.
- CATHERINE, transfigurée.
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE, avec colère.
- MARCO
- BÉATRICE
- EDDIE, se maîtrisant, il sourit et va à Catherine.
- CATHERINE
- EDDIE
- EDDIE, à Marco.
- MARCO
- RODOLPHO
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, sort de la maison et vient à lui.
- EDDIE
- BÉATRICE, sourit.
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, embarrassé.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, un temps.
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- PETER
- EDDIE
- PETER
- EDDIE
- PETER
- EDDIE
- MIKE
- EDDIE
- PETER
- EDDIE
- MIKE
- EDDIE
- PETER
- MIKE
- EDDIE, cherchant ses mots.
- MIKE
- EDDIE
- MIKE
- EDDIE
- MIKE
- EDDIE
- MIKE
- EDDIE
- MIKE
- PETER, se lève.
- EDDIE
- PETER
- MIKE
- PETER, croisant Rodolpho et Catherine qui entrent.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- EDDIE, amusé, il sourit.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, avec rancune.
- EDDIE
- RODOLPHO
- EDDIE, d’une voix dure.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- EDDIE, avec un sourire forcé.
- CATHERINE
- RODOLPHO
- EDDIE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, allant à lui.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, douloureusement.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, bouleversé.
- CATHERINE, désespérément.
- EDDIE
- CATHERINE, des sanglots dans la voix.
- EDDIE
- BÉATRICE, d’une voix froide.
- EDDIE
- BÉATRICE, explosant.
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE, doucement, tremblant.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE, tourne lentement la tête vers Béatrice.
- BÉATRICE
- CATHERINE, lentement, comme pesant ses mots.
- BÉATRICE, avec satisfaction.
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE, sursautant.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE, sourire triste.
- CATHERINE
- BÉATRICE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, après un regard par-dessus chacune de ses épaules.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, gêné.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, indigné, véhément.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, ricanant.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, se levant.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI, se levant.
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, furieux.
- ALFIERI, un temps.
- EDDIE, se reprenant.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI, s’asseyant sur son bureau.
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, s’asseyant.
- MARCO, se levant.
- RODOLPHO, se levant.
- EDDIE, à Marco.
- MARCO
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- MARCO
- EDDIE, riant.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- RODOLPHO
- EDDIE, rageur.
- BÉATRICE, pour faire diversion.
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO, gêné.
- RODOLPHO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE, riant.
- MARCO
- RODOLPHO
- EDDIE, se lève, va et vient.
- RODOLPHO
- EDDIE
- MARCO, réticent.
- BÉATRICE
- EDDIE
- RODOLPHO
- EDDIE
- BÉATRICE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO, à Rodolpho.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE, à Eddie.
- BÉATRICE
- EDDIE
- MARCO
- RODOLPHO, gêné.
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, maîtrisant à peine sa colère.
- MARCO
- EDDIE, s’asseyant.
- CATHERINE, indignée.
- RODOLPHO, par déférence pour Eddie.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE à Eddie.
- EDDIE
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- RODOLPHO
- EDDIE, baissant son journal.
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, continuant à danser.
- EDDIE, à Béatrice.
- MARCO
- EDDIE, allant à Rodolpho.
- RODOLPHO
- CATHERINE, joyeuse, elle va vers Eddie.
- EDDIE
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE, à Rodolpho.
- RODOLPHO
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- RODOLPHO, embarrassé.
- EDDIE
- RODOLPHO
- EDDIE
- BÉATRICE, à Marco.
- EDDIE
- CATHERINE, un peu effrayée.
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE, se précipitant vers Rodolpho.
- EDDIE
- RODOLPHO
- BÉATRICE, faisant asseoir Eddie sur le fauteuil.
- EDDIE
- RODOLPHO
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
-
- Deuxième partie (Lumière sur Alfieri assis à son bureau.)
-
- ALFIERI
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO, la question le fait sourire.
- CATHERINE
- RODOLPHO, cessant de sourire.
- CATHERINE
- RODOLPHO, abasourdi.
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO, va vers elle lentement.
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE, doucement.
- RODOLPHO, s’approchant d’elle.
- CATHERINE, se faisant violence.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE, près des larmes.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- RODOLPHO
- CATHERINE, avec rancune.
- RODOLPHO
- CATHERINE, se rendant à ses raisons.
- RODOLPHO, il l’attire vers lui.
- CATHERINE, rudement.
- RODOLPHO
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE, tremblant de peur.
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- RODOLPHO
- EDDIE, tournant la tête.
- RODOLPHO
- EDDIE
- RODOLPHO
- CATHERINE
- EDDIE, à Rodolpho.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- EDDIE, à Catherine.
- CATHERINE
- EDDIE, montrant de la tête Rodolpho.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, peu désireux d’entreprendre ce chapitre.
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE
- ALFIERI
- EDDIE, irrité.
- ALFIERI, plus durement.
- EDDIE
- PETER
- MIKE
- EDDIE
- MIKE
- EDDIE, rogue.
- PETER
- EDDIE
- BÉATRICE, elle le regarde avec appréhension.
- EDDIE, il pose son veston sur le pick-up.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, soulagé.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, criant.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, après un temps.
- BÉATRICE
- EDDIE, sursautant.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE, il s’est remis à marcher nerveusement.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE, après un temps.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, de plus en plus anxieux.
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE, pris par la peur et la colère.
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- CATHERINE
- EDDIE
- LE PREMIER INSPECTEUR
- EDDIE
- PREMIER INSPECTEUR
- EDDIE, vers la porte.
- PREMIER INSPECTEUR
- EDDIE, nouveau coup.
- PREMIER INSPECTEUR
- EDDIE
- PREMIER INSPECTEUR
- EDDIE
- PREMIER INSPECTEUR, revenant de la chambre.
- SECOND INSPECTEUR, apparaissant à la porte de la cuisine.
- PREMIER INSPECTEUR
- SECOND INSPECTEUR
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, cachant son visage dans ses mains.
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE, dépassant le premier inspecteur, elle tente de retarder sa descente.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- PREMIER INSPECTEUR
- CATHERINE
- PREMIER INSPECTEUR
- CATHERINE
- PREMIER INSPECTEUR
- CATHERINE, se jetant entre lui et Rodolpho.
- PREMIER INSPECTEUR
- BÉATRICE, de la porte.
- EDDIE
- PREMIER INSPECTEUR, éloignant Eddie.
- EDDIE
- INSPECTEUR
- EDDIE
- INSPECTEUR
- CATHERINE
- INSPECTEUR
- MARCO
- INSPECTEUR
- MARCO
- EDDIE
- ALFIERI
- RODOLPHO
- MARCO
- ALFIERI
- MARCO
- ALFIERI
- RODOLPHO
- CATHERINE, s’agenouillant auprès de Marco.
- RODOLPHO
- CATHERINE
- MARCO, à Alfieri.
- ALFIERI
- MARCO
- ALFIERI
- MARCO, à Rodolpho.
- RODOLPHO
- MARCO, retire sa main.
- ALFIERI
- MARCO, regarde Alfieri.
- ALFIERI
- MARCO, il a un geste de la tête signifiant que c’est là une idée nouvelle.
- ALFIERI
- MARCO
- ALFIERI
- MARCO, montée de colère.
- ALFIERI
- MARCO
- ALFIERI
- MARCO, s’asseyant.
- ALFIERI
- MARCO, il baisse les yeux, il a honte de sa réponse.
- ALFIERI
- MARCO, un temps.
- ALFIERI, prenant l’une de ses mains.
- MARCO
- ALFIERI
- CATHERINE embrasse Rodolpho, Marco et baise la main d’Alfieri.
- ALFIERI, seul avec Marco.
- BÉATRICE, avec crainte, va vers Eddie.
- EDDIE, avec la voix murmurée d’un homme épuisé.
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE, entre, venant de la chambre.
- BÉATRICE
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE, secouant Catherine.
- CATHERINE, s’écartant de Béatrice.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE, à Catherine.
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- CATHERINE, gênée.
- BÉATRICE
- CATHERINE, à mi-voix.
- BÉATRICE
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- RODOLPHO
- EDDIE
- RODOLPHO, il est resté sur le seuil.
- BÉATRICE, doucement.
- EDDIE
- BÉATRICE
- CATHERINE
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- RODOLPHO
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, lui barrant le chemin.
- EDDIE
- RODOLPHO
- EDDIE
- CATHERINE
- BÉATRICE
- EDDIE
- BÉATRICE, criant.
- CATHERINE
- EDDIE
- BÉATRICE
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- RODOLPHO, à Marco.
- BÉATRICE
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- BÉATRICE
- MARCO
- EDDIE
- MARCO
- EDDIE, couché.
- MARCO
- ALFIERI, qui était parmi les assistants, fait un pas en avant.
-
- Je me souviens de deux lundis
-
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND, il n’a jamais prêté attention à Bert, mais aujourd’hui il a le temps d’être curieux.
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND, avec un peu d’ironie.
- BERT, gêné.
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND, prenant le livre.
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND, reposant le livre.
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND
- AGNÈS
- RAYMOND
- AGNÈS, à Bert.
- BERT
- AGNÈS
- BERT
- AGNÈS
- BERT
- AGNÈS, montrant le livre.
- BERT, gêné.
- AGNÈS
- BERT
- AGNÈS
- PATRICIA
- AGNÈS
- PATRICIA
- AGNÈS
- PATRICIA
- AGNÈS, qui a toujours envie de rire, doucement.
- PATRICIA, arrangeant sa robe.
- AGNÈS
- PATRICIA
- AGNÈS, émoustillée.
- PATRICIA
- BERT
- PATRICIA
- GUS, l’interpellant sans conviction. Il est légèrement ivre, pas tout à fait dégrisé.
- AGNÈS, riant.
- GUS, marchant vers elle.
- AGNÈS, riant et courant vers la porte des toilettes.
- GUS
- AGNÈS, surprise par Raymond.
- RAYMOND, en colère.
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- JIM, sombre.
- GUS
- JIM, se tournant vers Raymond avec un sourire confus.
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- AGNÈS
- GUS
- AGNÈS
- GUS
- AGNÈS, s’éloignant.
- GUS, fort.
- AGNÈS, se bouchant les oreilles.
- GUS, riant fort, se tourne vers Bert.
- BERT
- GUS
- JIM
- GUS, prenant le bras de Jim.
- JIM, essayant de se dégager.
- GUS, regardant autour de lui.
- JIM, à Bert qui va vers la porte.
- GUS, prenant la fiche des mains de Jim.
- BERT
- GUS
- JIM
- GUS
- JIM
- GUS
- JIM
- GUS
- JIM
- GUS
- PATRICIA
- GUS
- GUS, crie dans le téléphone.
- JIM
- GUS
- JIM
- KENNETH
- JIM
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- BERT, en déposant deux essieux sur le banc.
- KENNETH, avec sa veste à la main.
- BERT, avec étonnement et respect.
- KENNETH, accrochant sa veste.
- GUS, de son bureau.
- KENNETH
- BERT, parcourant les bulletins de commande.
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- BERT
- GUS, bondissant de son bureau.
- BERT
- GUS
- BERT
- GUS, marmonnant.
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- GUS, se tournant.
- BERT
- KENNETH
- GUS
- KENNETH, emballant.
- GUS, sans se retourner.
- KENNETH
- PATRICIA
- KENNETH
- PATRICIA
- GUS, à Patricia.
- KENNETH
- PATRICIA, échappant à Gus.
- LARRY
- PATRICIA, à Gus.
- GUS
- PATRICIA
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY, leurs yeux se rencontrent.
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- GUS
- LARRY, solennel.
- GUS
- LARRY
- GUS
- LARRY
- GUS
- LARRY
- GUS
- LARRY
- KENNETH, accroupi devant la balance.
- BERT
- KENNETH
- GUS
- BERT
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- JIM
- GUS
- KENNETH, lisant les poids de la balance.
- GUS
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- LARRY
- KENNETH
- LARRY
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- JIM
- KENNETH
- JIM
- KENNETH
- JIM
- BERT
- KENNETH
- JIM
- KENNETH
- JIM
- BERT, il range son casse-croûte.
- KENNETH
- GUS
- KENNETH
- FRANK
- GUS
- FRANK
- GUS
- FRANK
- GUS
- FRANK
- JIM, feuilletant les fiches.
- FRANK
- JIM
- FRANK
- JIM
- FRANK
- GUS
- FRANK
- GUS
- FRANK
- GUS
- KENNETH
- RAYMOND
- GUS
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- JERRY et WILLY
- RAYMOND
- JERRY, jetant un coup d’œil sur sa montre en or.
- WILLY
- GUS
- RAYMOND, à Jerry.
- JERRY
- WILLY
- JERRY, avec un sourire satisfait.
- RAYMOND
- GUS, à Raymond.
- RAYMOND, s’approche du bureau et fait face à Tom, qui regarde droit devant lui, immobile, les mains sur les cuisses.
- GUS, s’adressant à eux.
- JERRY
- GUS
- TOUT LE MONDE CRIE
- JERRY
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- JIM
- GUS
- RAYMOND
- BERT, prenant l’argent de Raymond.
- RAYMOND
- GUS, préoccupé.
- AGNÈS
- RAYMOND
- AGNÈS
- RAYMOND
- GUS, regardant les yeux morts de Tommy.
- AGNÈS, regardant Tommy.
- KENNETH, à Larry.
- LARRY
- KENNETH
- LARRY
- KENNETH
- GUS, à Kenneth.
- KENNETH
- LARRY
- KENNETH
- AGNÈS
- JIM
- GUS
- JIM
- KENNETH
- JIM
- GUS
- BERT, se léchant les doigts et sifflant.
- GUS
- JIM
- BERT
- AGNÈS
- KENNETH
- LARRY
- JIM
- KENNETH
- JIM
- FRANK
- GUS
- FRANK
- GUS
- FRANK
- AGNÈS, riant.
- JERRY
- KENNETH
- JERRY
- GUS, désignant Tommy.
- LARRY
- GUS
- LARRY
- GUS
- LARRY, s’échauffant.
- WILLY, à Jerry.
- FRANK
- WILLY, à Jerry.
- GUS
- RAYMOND
- RAYMOND, va au bureau auprès de Tom Kelly.
- GUS
- LARRY, au mécanicien.
- MÉCANICIEN
- LARRY
- MÉCANICIEN
- LARRY
- MÉCANICIEN
- LARRY
- MÉCANICIEN
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- RAYMOND
- LARRY
- RAYMOND, prenant la pièce sur la table.
- LARRY
- MÉCANICIEN
- LARRY
- MÉCANICIEN
- LARRY
- MÉCANICIEN
- MÉCANICIEN
- LARRY
- MÉCANICIEN
- LARRY
- BERT
- LARRY
- BERT
- LARRY
- BERT
- LARRY
- BERT
- LARRY
- BERT
- AGNÈS
- LARRY, au mécanicien.
- LARRY
- GUS, inquiet.
- LARRY, s’approche de Tom et lui parle à l’oreille.
- AGNÈS
- GUS
- JIM
- LARRY
- GUS
- LARRY
- AGNÈS regarde Tommy en tremblant.
- LARRY, en colère, mais essayant de se contenir.
- AGNÈS
- GUS
- KENNETH
- GUS
- BERT
- GUS
- BERT
- AGNÈS, à voix basse.
- BERT, très fort.
- AGNÈS
- EAGLE
- KENNETH, à voix basse.
- BERT, fort.
- KENNETH, fort.
- TOM
- LARRY
- TOM, déchaîné et titubant.
- EAGLE, en passant devant Tom il l’examine attentivement.
- JIM
- TOM
- GUS, à Bert sur un ton bourru.
- BERT, s’épongeant le front.
- TOM
- AGNÈS
- PATRICIA, appelant des coulisses.
- AGNÈS
- TOM
- GUS
- TOM
- KENNETH
- TOM, avec morgue.
- KENNETH, lissant ses cheveux.
- TOM
- KENNETH, avec une bourrade.
- TOM, allant vers son bureau.
- KENNETH, avec une colère feinte.
- RAYMOND
- TOM, qui se sent coupable.
- RAYMOND, à voix basse.
- TOM, inquiet, regardant Raymond.
- RAYMOND
- TOM
- GUS, à Raymond.
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- AGNÈS
- GUS, sans faire attention à elle, à Raymond.
- AGNÈS, montrant le téléphone.
- GUS, essayant de se dégager.
- AGNÈS
- GUS
- AGNÈS
- GUS
- JIM
- GUS, à Larry.
- LARRY
- RAYMOND
- GUS
- GUS, à Tom.
- TOM, retenant ses larmes.
- GUS, s’approchant de lui.
- TOM, il baisse la tête.
- GUS
- TOM
- GUS, approuvant.
- RAYMOND
- KENNETH
- BERT, ravi.
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT, regardant par la fenêtre.
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- RAYMOND
- KENNETH
- RAYMOND
- BERT
- RAYMOND, agréablement surpris.
- BERT
- RAYMOND, avec une pointe de sarcasme.
- BERT
- KENNETH, méprisant.
- BERT
- KENNETH, évasif.
- BERT
- LARRY, s’appuyant sur la table.
- BERT
- LARRY, avec une certaine jalousie.
- BERT
- LARRY
- BERT
- LARRY, avec un peu d’admiration.
- BERT
- TOM
- KENNETH, avec une fausse gentillesse.
- TOM, se dirigeant vers le portemanteau.
- KENNETH
- TOM
- KENNETH
- TOM
- KENNETH
- TOM
- KENNETH, avec un soupir.
- TOM
- KENNETH
- TOM
- KENNETH
- TOM
- KENNETH, très troublé.
- AGNÈS
- KENNETH
- AGNÈS, avec un rire.
- LARRY
- AGNÈS
- BERT
- KENNETH
- TOM
- BERT
- TOM, avec un ricanement.
- LARRY
- TOM
- LARRY
- TOM
- RAYMOND
- BERT
- WILLY
- JERRY
- GUS, sombre.
- KENNETH
- GUS
- JERRY
- GUS
- LARRY, à moitié sérieux.
- RAYMOND
- JIM
- RAYMOND
- JIM
- GUS
- KENNETH
- RAYMOND
- GUS, fourrant les billets dans la poche de Kenneth.
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- GUS
- LARRY
- GUS
- LARRY
- GUS
- RAYMOND, effrayé.
- GUS, près de la balance.
- GUS, il crie à Patricia.
- PATRICIA
- GUS
- LARRY
- PATRICIA
- RAYMOND
- TOM, à Raymond.
- RAYMOND
- BERT, jetant un coup d’œil aux toilettes.
- JERRY, regardant par la fenêtre.
- BERT
- JERRY
- KENNETH, à Jerry.
- JERRY
- KENNETH
- WILLY, se précipitant à la fenêtre.
- KENNETH
- JERRY
- WILLY, émoustillé.
- KENNETH
- TOM
- JERRY
- KENNETH
- AGNÈS
- KENNETH
- AGNÈS
- GUS
- KENNETH
- AGNÈS
- TOM
- AGNÈS
- KENNETH
- GUS
- JIM
- JERRY
- KENNETH
- JERRY
- KENNETH, en colère.
- RAYMOND
- GUS, assis sur sa chaise devant la fenêtre.
- KENNETH
- RAYMOND
- LARRY
- GUS, avec une immense tristesse.
- KENNETH
- TOM
- KENNETH
- PATRICIA, à Kenneth.
- GUS
- PATRICIA, rattrapant Larry ; à voix basse.
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA
- LARRY
- PATRICIA, avec une rage froide.
- EAGLE
- PATRICIA, soudain charmante.
- EAGLE
- GUS
- TOM, à Gus.
- KENNETH, à voix basse.
- TOM
- GUS
- BERT
- GUS
- KENNETH, à Jerry qui regarde par la fenêtre.
- JERRY
- WILLY
- KENNETH
- TOM, à voix basse.
- KENNETH
- EAGLE
- KENNETH
- JERRY
- KENNETH
- RAYMOND
- JERRY
- KENNETH
- RAYMOND
- RAYMOND
- GUS
- RAYMOND
- AGNÈS
- GUS
- JIM
- RAYMOND
- GUS, en titubant, à Bert.
- BERT
- GUS
- BERT
- GUS
- BERT
- GUS
- BERT
- JERRY, regardant par la fenêtre.
- WILLY
- TOM
- KENNETH
- PATRICIA
- KENNETH
- TOM
- LARRY
- AGNÈS
- RAYMOND
- KENNETH
- RAYMOND
- AGNÈS
- JIM, enlevant son manteau.
- RAYMOND
- LARRY
- AGNÈS
- JIM
- BERT
- AGNÈS, va vers Jim.
- LARRY
- JIM
- AGNÈS
- JIM
- LARRY
- JIM
- AGNÈS
- JIM
- RAYMOND
- JIM, avec un geste.
- FRANK
- TOM
- FRANK
- KENNETH
- FRANK
- KENNETH
- FRANK
- TOM
- FRANK
- KENNETH
- FRANK
- BERT
- AGNÈS
- BERT
- AGNÈS
- BERT
- PATRICIA
- AGNÈS
- BERT
- BERT
- JIM
- TOM, de sa place, devant le bureau, tendant un bulletin à Jim.
- JIM
- BERT
- TOM
- BERT
- TOM
- BERT
- RAYMOND
- TOM
- RAYMOND
- BERT
- BERT
- KENNETH, gêné, se tournant vers lui.
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- BERT
- KENNETH
- TOM
- WILLY
- BERT
- LARRY, par-dessus son épaule.
- KENNETH
- TOM, sans se retourner.
- KENNETH, en taillant un petit bout de crayon.
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