N'est pas gourmand qui veut : un gastronome amoureux sur les routes de France François Simon

Résumé

"Pour la première fois François Simon raconte son métier de journaliste gastronomique, sa passion, ses chemins, sa vie de promeneur. Avant toute chose, ce livre est une leçon de gourmandise. Sans concessions, avec pudeur et avec sincérité, François Simon nous emmène avec lui. Nous sommes assis à sa table. Nous dégustons. Bouche bée, nous l’écoutons, nous salivons. Tout est passé au peigne fin. Rien n’est oublié, il a l’art de tout décortiquer. Car seul le détail, peut-être, fera la différence … Cristallisation, passion, déception, trahison, rupture. Toutes les rencontres racontées ici obéissent aux lois de l’amour. Rencontres avec des Chefs: Michel Guérard, Paul Bocuse, l’éternel Robuchon… Ils sont tous là. François Simon sait les récompenser… ou les maltraiter. Rencontres avec des lieux. De Saint-Nazaire à Lyon, en passant par le XXe arrondissement de Paris ou un village auvergnat, chaque ville a droit à sa propre visite. Pour nous, Simon cherche le restaurant, la perle rare, l’endroit secret. Il aime découvrir, attend d’être surpris. Ce récit illustre aussi mieux que jamais l’attachement de François Simon à la langue française. Tel un Brillat Savarin des temps modernes, il part à la conquête du goût et des mots. Le goût et le plaisir de la table s’associent parfaitement et de façon jubilatoire à son style. Ses phrases sont croustillantes, rosées parfois, enivrantes, ou un peu salées... L’écriture est pour lui la passerelle privilégiée vers la gastronomie; et la gastronomie est l’antre de sa littérature." (l'éditeur)

Auteur  :
Simon, François (1954-....)
Éditeur :
Paris, Robert Laffont,
Langue :
français.
Pays :
France.
Mots-clés :
Nom commun :
Gastronomie -- France
Description du livre original :
1 vol. (297 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm
ISBN :
2221103238.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Prologue
  • L’apesanteur fait partie des voyages réussis : Gare de Lyon
  • Par chance, ce fut bon : Eugénie-les-Bains
  • Il faut se lever tôt pour prononcer «Morey-Saint-Denis» : Montrachet
  • À 2 heures du matin, une baignoire se remplissait : Rennes
  • Parfois, les chefs devraient aller faire un tour en salle : Lyon
  • On attend le cerf, l’ovidée. Rien : Obernai
  • On se serait cru dans le ventre d’un nuage de crème Chantilly : Saint-Nazaire
  • La Baule et son affligeant urbanisme «financier» : La Brière
  • Cette ville daigne exister lorsque l’existence est bonne : Vichy
  • Survivre au fin fond de la carte routière : Lurbe-Saint-Christau
  • Une saucière dans le cou, c’est incongru : Le Croisic
  • Il est encore loin le moment où l’on saura recevoir en France avec naturel et plaisir : Saint-Bonnet-le-Froid
  • Mange-t-on bien dans les grands restaurants? : Paris
  • Une jolie Facel Vega reposant sous une bâche : Dijon
  • Les tomates jouaient à la canasta dans leur coin : Lastours
  • Assassin : Montpellier
  • Sauver Mozart de la noyade : Paris
  • Évitez d’assister aux enterrements si vous avez l’estomac fragile : Paris
  • Un succulent hold-up à Monte-Carlo : Monaco
  • Fleurs blanches : Condrieu
  • Touffes, grumeaux... : Mont-Saint-Michel
  • L’injustice pochée à l’anis : Vence
  • Chateaubriand sur sa motte de beurre : La Roche-Bernard
  • «Scandaleusement» ignorée par les guides : Auxerre
  • Mais qui videra notre cave? : Le Castellet
  • La diagonale d’un vaste lit : Uzès
  • Neurasthénie de la poularde : Gien
  • Des couloirs vides : Cologne
  • J’étais, je crois, brisé : Lille
  • Mur-de-Bretagne? Vous parlez d’un nom : Mur-de-Bretagne
  • Pourquoi ne m’avez-vous pas aimé? : Heugueville-sur-Sienne
  • Qu’a-t-on donc fait au petit-beurre LU? : Nantes
  • Parfois, on devrait livrer le fond de sa pensée : Île de Noirmoutier
  • Bocuse, rêve éveillé : Lyon
  • Symphonie macabre à l’Autogrill : Avignon
  • Que reste-t-il de nous sur le parking? : Cancale
  • Il s’endormait dans une barque qui occupait tout son salon : Roscoff
  • Le critique gastronomique est souvent un acariâtre insupportable : Paris
  • Vous n’en avez pas marre de passer votre vie au restaurant? : Plomodiern
  • Au pied de mon lit, je voyais bouger les poissons : Sein
  • J’ai failli m’étrangler avec un (jeune) poireau : Saint-Paul-Trois-Châteaux
  • Séparer le ridicule du déchirant : Juan-les-Pins
  • Que m’était il arrivé, j’espère ne jamais le savoir : Paris
  • La cuisine de Tantale : Paris
  • Le quotidien, c’est des moments : Paris
  • J’ai rencontré le prisonnier de la Tour d’Argent : Paris
  • La rage à la bouche : Paris
  • Le nombre des clients mal embouchés est impressionnant : Paris
  • Insurrection au Balzar : Paris
  • C’est à devenir dingue : Paris
  • Mais qu’est-ce que tu fais là? : Paris
  • Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais notre chou était vieux : Paris
  • L’impérialisme de la désinvolture : Paris
  • Le papier fut d’une rare méchanceté, le lendemain c’était plein : Paris
  • Impressionnante mais infecte : Paris
  • Correct mais triste : Paris
  • L’huître avait pété : Paris
  • J’y ai vu deux belles filles pleurer en se prenant la main : Paris
  • Le pigeon avait lui aussi un coup dans l’aile : Vincenzeaux
  • Un petit ventre arboré comme un globe terrestre : Paris
  • Les guerriers du Japon ancien : Paris
  • N’est pas gourmand qui veut... : Sens

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